"Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité" (Col 2:10).
En Jésus, nous possédons toute chose: le salut, la force, la santé, la sagesse, la richesse, la prospérité, le bonheur, la gloire, le bien-être,...Par conséquent, nous n'avons pas encore à chercher ailleurs.
Car non seulement, nous possédons toutes ces choses en Christ; mais nous les possédons pleinement, en abondance.
Il est essentiel que nous puissions réaliser ce fait et nous approprier cette vérité.
Bien-aimé(e), nous avons tout pleinement en Christ.
Il n'y a rien que notre cœur désire que nous ne pouvons obtenir en Jésus.Absolument rien.
Cependant, si nous ne pouvons jouir de toutes ces choses en Christ, la faute n'est pas Dieu. C'est notre ignorance, notre incrédulité et notre désobéissance qui nous privent de toutes ces bénédictions.
Aussi et c'est là le point clé, si nous ne jouissons pas véritablement et pleinement de toute chose en Christ, n'est-ce pas parce que nous ne possédons pas pleinement Christ lui-même dans notre cœur et dans notre vie?
Car s'il est vrai que nous avons tout pleinement en Christ; Est-il aussi vrai que nous Le possédons Lui-même pleinement dans notre vie? Je ne crois pas. Or c'est là que le bât blesse.
C'est uniquement dans le mesure où nous sommes remplis se Christ, que nous pouvons jouir de toute chose en Lui. Ni plus, ni moins.
mardi 27 septembre 2011
lundi 26 septembre 2011
La mort dans le pot
"Elisée revint à Guilgal, et il y avait une famine dans le pays. Comme
les fils des prophètes étaient assis devant lui, il dit à son
serviteur: Mets le grand pot, et fais cuire un potage pour les fils des
prophètes. L'un d'eux sortit dans les champs pour cueillir des herbes; il
trouva de la vigne sauvage et il y cueillit des coloquintes sauvages,
plein son vêtement. Quand il rentra, il les coupa en morceaux dans le
pot où était le potage, car on ne les connaissait pas. On servit à manger à ces hommes; mais dès qu'ils eurent mangé du
potage, ils s'écrièrent: La mort est dans le pot, homme de Dieu! Et ils
ne purent manger. Elisée dit: Prenez de la farine. Il en jeta dans le pot, et dit:
Sers à ces gens, et qu'ils mangent. Et il n'y avait plus rien de
mauvais dans le pot" (2 Rois 4:38-41).
La soupe était devenue inconsommable après que l'un des fils des prophètes y mit des coloquintes sauvages. Les coloquintes (une sorte de concombre) sauvages étaient des herbes amères. Elles eurent dans la soupe l'effet d'un poison, un goût amer pour ne pas exagérer.
Pour neutraliser ce goût amer, le prophète Élisée ordonna qu'on jeta dans la soupe de la farine. Cela fut fait et la soupe devint douce.
La farine a-t-elle des propriétés adoucissantes?
Pas à ma connaissance. Moïse avait purifié les eaux amères de Mara en y jetant un bois. Elisée avait également assaini les eaux stériles de Jéricho en y jetant du sel. Ici, c'est avec la farine qu'il adoucit la soupe.
Ni le bois, ni le sel encore moins la farine ne possède une vertu purificatrice. C'est la puissance de Dieu qui a agi à chaque fois au travers de chacun de ses éléments. Il est bon de noter cela, vu avec quelle frénésie certains croyants vont à la recherche de certains éléments sacrés supposés avoir des pouvoirs mystiques ou magiques. C'est Dieu qui opère les miracles, pas l'huile,l'eau, le vin, le sel, la farine ou autre chose de semblable. C'est donc en Dieu et lui seul que nous devons placer notre confiance pour espérer obtenir un miracle.
Mais il y a une révélation qui se cache derrière l'utilisation de la farine par Élisée pour purifier la soupe. La farine sert à faire le pain. Or Jésus s'est présenté à nous comme le pain du ciel, le pain de vie. Quiconque le mange reçoit la vie éternelle. Mettez donc Jésus dans votre vie et tout ce qui a été souillé, tout ce qui est stérile et mort reprendra vie.
mercredi 21 septembre 2011
La piété et les sacrifices
"Car j'aime la piété et non les sacrifices" (Osée 6:6).
Dieu dédaigne t-il les sacrifices? Sans doute non. Puisque c'est lui qui les institués.
Maintenant, ce qu'il affirme ici c'est qu'il aime la piété et non les sacrifices. Allons-y comprendre quelque chose.
Par là, nous comprenons que ce que Dieu agrée, ce ne sont pas les offrandes de nos mains; mais avant tout l'offrande de notre vie.
Ce qui compte aux yeux de Dieu c'est la crainte que nous avons de son nom. C'est la droiture de nos cœurs et notre attachement à sa sainteté.
Quand nous marchons dans la justice de Dieu et rejetons loin de nous le mal et le péché, nos vies paraissent devant lui comme des sacrifices de bonne odeur. C'est dans ce contexte seulement qu'il peut porter un regard favorable sur les offrandes de nos mains. Sans cela, nos dons en nature et en espèce ne sont que pur formalisme.
Dieu peut-il agréé l'offrande de nos mains, alors qu'il rejettent nos personnes?
mardi 20 septembre 2011
La fidélité de Dieu
"De toutes les bonnes paroles que l’Éternel avait dites à la maison d'Israël, aucune ne resta sans effet: toutes s'accomplirent" (Josué 21:45).
Qu'il est réjouissant et rassurant d'entendre ce témoignage!
Toutes les bonnes paroles que l’Éternel a dites à Israël s'accomplirent toutes, sans exception.
Les années ont passé. Les épreuves se sont succedées. Le peuple d’Israël a multiplié ses actes de rébellion contre ses leaders et contre Dieu et a connu un long moment d' errements dans le désert, des jugements terribles.
En dépit de tout cela, quand Josué jette un regard en arrière sur ces quarante interminables années passées dans le désert, il ne voit que la main de l’Éternel qui les a conduits en terre promise, sans qu'il n'est manqué de pain et que leurs chaussures ne se soient usées.
Telle est la fidélité de Dieu, qui veille sur Sa Parole pour l'accomplir.
Notre Dieu en effet, n'est pas un homme pour mentir, ni un fils de l'homme pour se repentir. La Parole qui sort de sa bouche ne retourne point à lui sans avoir accomplir son effet.
C'est pourquoi, nous devons être sûrs de ses promesses, espérer toujours en elles mêmes celles qui nous paraissent les plus improbables. Car qu'est-ce-qui lui est impossible?
Qu'il est réjouissant et rassurant d'entendre ce témoignage!
Toutes les bonnes paroles que l’Éternel a dites à Israël s'accomplirent toutes, sans exception.
Les années ont passé. Les épreuves se sont succedées. Le peuple d’Israël a multiplié ses actes de rébellion contre ses leaders et contre Dieu et a connu un long moment d' errements dans le désert, des jugements terribles.
En dépit de tout cela, quand Josué jette un regard en arrière sur ces quarante interminables années passées dans le désert, il ne voit que la main de l’Éternel qui les a conduits en terre promise, sans qu'il n'est manqué de pain et que leurs chaussures ne se soient usées.
Telle est la fidélité de Dieu, qui veille sur Sa Parole pour l'accomplir.
Notre Dieu en effet, n'est pas un homme pour mentir, ni un fils de l'homme pour se repentir. La Parole qui sort de sa bouche ne retourne point à lui sans avoir accomplir son effet.
C'est pourquoi, nous devons être sûrs de ses promesses, espérer toujours en elles mêmes celles qui nous paraissent les plus improbables. Car qu'est-ce-qui lui est impossible?
lundi 19 septembre 2011
Ton Dieu règne
" Je vis le Seigneur assis sur un trône très élevé" (Esaïe 6:1).
Sur son trône céleste, Dieu est assis. Et de là, il règne sur tout l'univers.
Il règne au ciel et il règne sur la terre. Il règne sur le monde invisible et il règne sur le monde visible.
Il règne sur les esprits, sur les poissons, sur les animaux et sur les hommes.
Il sonde les secrets de la nuit et connaît les pensées de nos cœurs.
Il contrôle le temps et l'espace. Il est ici et il est là, partout à la fois et en même temps.
Il crée les circonstances et dirige tous les événements.
Il fait des vents ses messagers et des flammes de feu ses serviteurs.
Il tient dans sa main le coeur des rois et les incline comme il veut.
Le règne de Dieu est universel et total. Rien n'échappe à sa domination.
Crois-tu cela? Alors crains-le et espère en lui.
Sur son trône céleste, Dieu est assis. Et de là, il règne sur tout l'univers.
Il règne au ciel et il règne sur la terre. Il règne sur le monde invisible et il règne sur le monde visible.
Il règne sur les esprits, sur les poissons, sur les animaux et sur les hommes.
Il sonde les secrets de la nuit et connaît les pensées de nos cœurs.
Il contrôle le temps et l'espace. Il est ici et il est là, partout à la fois et en même temps.
Il crée les circonstances et dirige tous les événements.
Il fait des vents ses messagers et des flammes de feu ses serviteurs.
Il tient dans sa main le coeur des rois et les incline comme il veut.
Le règne de Dieu est universel et total. Rien n'échappe à sa domination.
Crois-tu cela? Alors crains-le et espère en lui.
vendredi 9 septembre 2011
Quelle odeur de Christ répands-tu autour de toi?
"Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent" (2 Corinthiens 2:15).
Ailleurs, l'apôtre Paul affirmait que nous étions des lettres écrites de Christ. Ici, il soutient que nous sommes une odeur de Christ. En d'autres termes, que nous répandons la connaissance de Christ autour de nous.
Mais si l'apôtre parle de "bonne odeur de Christ", c'est qu'il y a "une mauvaise odeur de Christ" que nous pouvons répandre.
La vraie question qui se pose donc à chacun de nous est : "quelle odeur de Christ je répands autour de moi, la bonne ou la mauvaise?
Suis-je de ceux-là qui prêchent Christ par envie, par orgueil ou par cupidité? Ou contraire suis-je de ceux-là qui le prêchent par amour et avec désintéressement?
Suis-je de ceux-là qui outragent la sainte parole de Dieu par une conduite dissolue et qui donnent l'occasion aux gens de dehors de juger et de calomnier Christ? Ou au contraire suis-je ceux-là qui affirment l'autorité de la parole de Dieu en ne laissant tomber à terre aucune des lois qu'elle nous enseignent?
Suis-je de ceux-là qui invoquent uniquement par les lèvres le nom de Christ comme Seigneur tandis qu'ils rejettent son autorité? Ou au contraire suis-je de ceux qui le servent sincèrement dans l'obéissance à sa Parole et à sa volonté?
A travers vous, qu'est -ce que les gens retiennent de Christ? Se sentent-ils attirer à lui? Ou au contraire conservent-ils la distance qu'ils avaient vis-à-vis lui? Trouvent -ils des raisons de s'éloigner lui que de se rapprocher de lui ?
Jugez-en vous même! Et devant le Seigneur, répondez pour vous-même. Chacun pour lui-même.
jeudi 8 septembre 2011
L'homme ne vivra pas de pain seulement
"Jésus répondit: Il est écrit: L'homme ne vivra pas
de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu" ( Math 4 : 4).
Comment l'homme peut-il vivre de la Parole de Dieu?
Le pain (l'herbe des champs) est devenu nourriture de l'homme parce qu'à la création Dieu nous l'a donné pour nourriture.
"Et Dieu dit: Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d'arbre et portant de la semence: ce sera votre nourriture" (Gen 1:29).
Dieu avait déclaré que le caillou (comme Satan suggéra à Jésus de changer le caillou en pain) soit notre nourriture qu'il en serait ainsi.
C'est la parole de Dieu qui nous a donné l'herbe des champs et les fruits des arbres pour nourriture.
A ce titre, l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
Et voyons-nous que c'est la même parole de Dieu qui pendant 40 ans a pourvu aux soins d'Israël dans le désert. Tantôt faisant jaillir du rocher de l'eau; tantôt faisant tomber du ciel la manne. C'est encore la même parole de Dieu qui envoya les corbeaux nourrir Elie, et multiplier l'huile de la veuve de Sarepta.
Le pain peut donc manquer. Mais nous disposons d'une ressource toujours disponible, inépuisable qui est la parole de Dieu. Par la foi, nous pouvons rendre effectives pour nous les promesses divines.
Comment l'homme peut-il vivre de la Parole de Dieu?
Le pain (l'herbe des champs) est devenu nourriture de l'homme parce qu'à la création Dieu nous l'a donné pour nourriture.
"Et Dieu dit: Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d'arbre et portant de la semence: ce sera votre nourriture" (Gen 1:29).
Dieu avait déclaré que le caillou (comme Satan suggéra à Jésus de changer le caillou en pain) soit notre nourriture qu'il en serait ainsi.
C'est la parole de Dieu qui nous a donné l'herbe des champs et les fruits des arbres pour nourriture.
A ce titre, l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
Et voyons-nous que c'est la même parole de Dieu qui pendant 40 ans a pourvu aux soins d'Israël dans le désert. Tantôt faisant jaillir du rocher de l'eau; tantôt faisant tomber du ciel la manne. C'est encore la même parole de Dieu qui envoya les corbeaux nourrir Elie, et multiplier l'huile de la veuve de Sarepta.
Le pain peut donc manquer. Mais nous disposons d'une ressource toujours disponible, inépuisable qui est la parole de Dieu. Par la foi, nous pouvons rendre effectives pour nous les promesses divines.
mercredi 7 septembre 2011
Dieu est un feu dévorant
"Car notre Dieu est aussi un feu dévorant" (Hébreux 12:29).
D'une manière générale, l'idée que nombre de nos contemporains ont et veulent avoir de Dieu est celle d'un Dieu d'amour, plein de bonté et de miséricorde.
Pas question de lui associer, une autre image que celle-là. Et ils lassent sa patience, abusent de son amour et portent atteinte à sa sainteté.
Parler leur de la colère de Dieu, et ils vous accuseront d'être trop austère et antisocial, de manquer de compassion et de courtoisie. C'est ainsi que Jean-Baptise qui menaçait le peuple des jugements divins, fut décapité parce qu'il osa dénoncer l'adultère d'Hérode et d'Hérodias, femme de son frère.
Cette conception que nous avons de Dieu n'est pas fausse, mais elle n'est pas complète.
Car si Dieu est un Dieu d'amour, il est aussi un feu dévorant. Ce qui signifie qu'il est un Dieu de colère, qui juge et qui punit nos péchés. Sans faute!
Or cette vérité, ce n'est pas un homme qui la soutient, mais Dieu lui même qui l'affirme dans sa Sainte Parole à travers laquelle il s'est révélé à nous.
Bien-aimé(e), crains Dieu!
mardi 6 septembre 2011
La puissance de la foi
"Elie était un homme de la même nature que nous: il pria avec instance
pour qu'il ne plût point, et il ne tomba point de pluie sur la terre
pendant trois ans et six mois" (Jac 5:17).
Elie était un prophète de l'Éternel. Mais il était un homme de la même nature que nous. Lui aussi était sujet à la faiblesse et la tentation, en proie à la souffrance et à la mort. Cependant, il a accompli de grands miracles.
Il pria et la pluie ne tomba plus pendant trois ans et six mois. Il pria de nouveau et la pluie vint.
Qu'est-ce-qui rendait l'homme Elie si puissant, si extraordinaire, au point de fermer et d'ouvrir le ciel par sa simple parole ?
La puissance d'Élie résidait dans sa foi au Dieu vivant.
En vérité, la foi nous rend participant de la puissance de Dieu.
"Si vous aviez de la foi comme un grain de sénévé, vous diriez à ce sycomore: Déracine-toi, et plante-toi dans la mer; et il vous obéirait" (Luc 11:6) nous dit le Seigneur Jésus.
Rien n'est impossible à la foi. Rien n'est impossible à un homme qui parle et agit par foi.
Peu importe qui vous êtes, mais si vous êtes animé par la foi, vous ferez des choses extraordinaires et vous deviendrez un homme extraordinaire.
lundi 5 septembre 2011
Préserve- toi du mal
"Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du mal" (Jean 17:15).
La requête que le Seigneur adresse à son Père en notre faveur, n'est pas qu'il nous ôte du monde; car comme lui, nous sommes ici pour rendre témoignage au Père, à la vérité et la lumière.
Ceci étant, la requête qu'il formule pour nous, c'est que son Père nous préserve du mal c'est-à-dire du péché, de la violence, de la corruption, de l'injustice et des convoitises de la chair qui sont dans le monde.
Comment pouvons-nous en effet rendre témoignage à la lumière tout en faisant bon ménage avec le mal?
Cela ne peut se faire si nous sommes attachés au mal.
Il faut donc que Dieu nous préserve, nous garde, nous éloigne, nous délivre du mal.
Or comme Dieu ne travaille pas sans nous à notre propre bien; cela signifie que nous devons, chacun pour sa part de lutter contre le mal pour ne pas se laisser corrompre par lui.
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