"Vous comptiez sur beaucoup, et voici, vous avez eu peu; Vous l'avez rentré chez vous, mais j'ai soufflé dessus. Pourquoi? dit l'Eternel des armées. A cause de ma maison, qui est détruite, Tandis que vous vous empressez chacun pour sa maison" (Ag 1:9).
A cause des oppositions diverses qu'il rencontrait, le peuple d’Israël avait arrêté les travaux de reconstruction de la maison de l’Éternel. Ils la laissèrent dans un état d'inachèvement et de délabrement pour se consacrer, chacun à sa propre maison. Leur attitude déplut fort à Dieu qui les frappa de bien des malédictions.
"Vous l'avez rentré chez vous, mais j'ai soufflé dessus".
" Vous semez beaucoup, et vous recueillez peu,Vous mangez, et vous n'êtes pas rassasiés, Vous buvez, et vous n'êtes pas désaltérés,Vous êtes vêtus, et vous n'avez pas chaud; Le salaire de celui qui est à gages tombe dans un sac percé" (Ag 11:6).
C'est ainsi que plusieurs d'entre nous sont frappés par la malédiction, uniquement parce qu'ils négligent les affaires de Dieu. Ils courent après leurs propres intérêts, sans se soucier de ceux Dieu. Et dire qu'ils sont les enfants et les serviteurs de Dieu? Allons-y comprendre quelque chose!
Réalisez-vous que c'est Dieu qui bénit et qu'il ne bénit que ceux qui se préoccupent de faire sa volonté et son oeuvre?
Si à l'heure actuelle, vous avez l'impression que quelqu'un vous combat et que votre vie est comme marquée par l'échec - de grâce avant d'accuser le diable, commencez à voir si quelque part vous n'avez pas un problème avec Dieu. Il se peut que ce soit votre désengagement dans les affaires de Dieu qui vous attirent des malédictions. Voyez et corriger cela, si c'est le cas.
vendredi 23 décembre 2011
mardi 20 décembre 2011
Il faut semer pour moissoner
"Ceux qui sèment avec larmes moissonneront avec chants d'allégresse. Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, revient avec allégresse, quand il porte ses gerbes" (Ps 16:5-6).
Il faut semer pour moissonner; et donner pour recevoir. Sans travail, sans effort, sans sacrifice, il n'y a pas de moisson. Ceci est une loi naturelle et un principe universel. Par dessus tout, c'est une loi biblique, une loi divine.
Or, il n'est pas du tout aisé de semer - car la terre peut être particulièrement dure alors que les semences même peuvent être insuffisantes pour notre propre consommation. Dans ces conditions, il faut beaucoup suer et consentir d'énormes sacrifices. Ainsi, c'est avec larmes et souvent avec beaucoup de larmes qu'on doit porter la semence en terre.
Mais ces larmes de douleur deviennent bientôt des chants d’allégresse, quand on revient avec les gerbes. C'est là, la consolation de ceux qui sèment. Ils moissonnent avec chants d'allégresse. Un jour vient, où ils reçoivent la récompense de leur travail et de leur souffrance.
Oh, qu'il est douloureux de semer, mais combien agréable de moissonner!
Ce passage nous montre qu'il n'y a pas de joie sans douleur ; et que pour bien se réjouir demain, il faut accepter de peiner et de souffrir aujourd'hui.
Du reste, nous devons savoir que nous moissonnons beaucoup plus et infiniment mieux, quand nous semons pour Dieu et pour son œuvre - car les bénéfices que nous tirons de cette semence ne sont pas seulement matériels et temporaires, ils sont aussi spirituels et éternels. Or vous savez que les biens spirituels valent infiniment plus que les biens matériels.
Mais amis, allons-y donc! Pour Dieu et pour son œuvre, ne craignons pas de semer! Semons dans la prière. Semons nos biens. Semons nos personnes. Semons nos vies!
Bienheureux ceux qui sèment pour Dieu!
Il faut semer pour moissonner; et donner pour recevoir. Sans travail, sans effort, sans sacrifice, il n'y a pas de moisson. Ceci est une loi naturelle et un principe universel. Par dessus tout, c'est une loi biblique, une loi divine.
Or, il n'est pas du tout aisé de semer - car la terre peut être particulièrement dure alors que les semences même peuvent être insuffisantes pour notre propre consommation. Dans ces conditions, il faut beaucoup suer et consentir d'énormes sacrifices. Ainsi, c'est avec larmes et souvent avec beaucoup de larmes qu'on doit porter la semence en terre.
Mais ces larmes de douleur deviennent bientôt des chants d’allégresse, quand on revient avec les gerbes. C'est là, la consolation de ceux qui sèment. Ils moissonnent avec chants d'allégresse. Un jour vient, où ils reçoivent la récompense de leur travail et de leur souffrance.
Oh, qu'il est douloureux de semer, mais combien agréable de moissonner!
Ce passage nous montre qu'il n'y a pas de joie sans douleur ; et que pour bien se réjouir demain, il faut accepter de peiner et de souffrir aujourd'hui.
Du reste, nous devons savoir que nous moissonnons beaucoup plus et infiniment mieux, quand nous semons pour Dieu et pour son œuvre - car les bénéfices que nous tirons de cette semence ne sont pas seulement matériels et temporaires, ils sont aussi spirituels et éternels. Or vous savez que les biens spirituels valent infiniment plus que les biens matériels.
Mais amis, allons-y donc! Pour Dieu et pour son œuvre, ne craignons pas de semer! Semons dans la prière. Semons nos biens. Semons nos personnes. Semons nos vies!
Bienheureux ceux qui sèment pour Dieu!
lundi 19 décembre 2011
La clé pour avoir une vie de prière
"Persévérez dans la prière, veillez-y avec actions de grâces" (Col 4:2).
L'importance de la prière n'est plus à démontrer. Chacun sait tout l'intérêt qu'elle comporte dans le développement d'une vie chrétienne normale. Les exhortations à ce sujet abondent dans toute l’Écriture, au nombre desquelles celle-ci.
Cependant, s'il y a une chose qui est à ce point négligée dans l’Église, c'est la prière. Qu'il s'agisse de la prière individuelle, comme de la prière communautaire. Est-il alors étonnant, que plusieurs d'entre nous mènent une vie spirituelle terne et infructueuse. Et que nos assemblées ont l'allure de tombeaux blanchis.
Il est dit ici que nous devons "persévérer dans la prière et veiller à cela avec actions de grâces".
Notez bien ces deux verbes: "persévérer" et "veiller". Ils nous révèlent tous les efforts que chacun doit faire pour demeurer et progresser dans la prière. Il s'agit pour chacun de faire en sorte que la prière entre dans ses habitudes quotidiennes, qu'elle devienne pour lui un style de vie.
Cela fait maintenant quelques années que je n'ai pas fait un jour sans prier, peut-être 4 ou 5 ans. Parfois, c'est avec beaucoup de peines et au milieu de bien des activités que je me suis efforcé de prier.
En considérant bien ma situation, je réalise que mon succès dans l'exercice quotidien de la prière ne tient pas du hasard. J'ai pris à un moment donné de ma vie, la ferme résolution de ne pas passer un jour sans prier. De plus, je me suis imposé un temps de prière de deux heures par jour. Cette résolution a été une véritable source de motivation pour moi.
C'est ainsi que par la grâce du Seigneur et par la force du Saint-Esprit, je suis parvenu à avoir une vraie vie de prière et une vraie communion avec le Seigneur. L'impact que cette décision a eu sur ma vie spirituelle est énorme.
Je suis donc convaincu , que tout enfant de Dieu peut avoir une véritable vie de prière. Le fait de persévérer dans l'exercice de la prière n'est pas aussi pénible que cela, ni même impossible. Ce n'est qu'une affaire d'engagement et de confiance personnelles dans la grâce du Seigneur.
L'importance de la prière n'est plus à démontrer. Chacun sait tout l'intérêt qu'elle comporte dans le développement d'une vie chrétienne normale. Les exhortations à ce sujet abondent dans toute l’Écriture, au nombre desquelles celle-ci.
Cependant, s'il y a une chose qui est à ce point négligée dans l’Église, c'est la prière. Qu'il s'agisse de la prière individuelle, comme de la prière communautaire. Est-il alors étonnant, que plusieurs d'entre nous mènent une vie spirituelle terne et infructueuse. Et que nos assemblées ont l'allure de tombeaux blanchis.
Il est dit ici que nous devons "persévérer dans la prière et veiller à cela avec actions de grâces".
Notez bien ces deux verbes: "persévérer" et "veiller". Ils nous révèlent tous les efforts que chacun doit faire pour demeurer et progresser dans la prière. Il s'agit pour chacun de faire en sorte que la prière entre dans ses habitudes quotidiennes, qu'elle devienne pour lui un style de vie.
Cela fait maintenant quelques années que je n'ai pas fait un jour sans prier, peut-être 4 ou 5 ans. Parfois, c'est avec beaucoup de peines et au milieu de bien des activités que je me suis efforcé de prier.
En considérant bien ma situation, je réalise que mon succès dans l'exercice quotidien de la prière ne tient pas du hasard. J'ai pris à un moment donné de ma vie, la ferme résolution de ne pas passer un jour sans prier. De plus, je me suis imposé un temps de prière de deux heures par jour. Cette résolution a été une véritable source de motivation pour moi.
C'est ainsi que par la grâce du Seigneur et par la force du Saint-Esprit, je suis parvenu à avoir une vraie vie de prière et une vraie communion avec le Seigneur. L'impact que cette décision a eu sur ma vie spirituelle est énorme.
Je suis donc convaincu , que tout enfant de Dieu peut avoir une véritable vie de prière. Le fait de persévérer dans l'exercice de la prière n'est pas aussi pénible que cela, ni même impossible. Ce n'est qu'une affaire d'engagement et de confiance personnelles dans la grâce du Seigneur.
samedi 17 décembre 2011
Qui montera à la montagne de l'Eternel?
" Qui pourra monter à la montagne de l’Éternel? Qui s'élèvera jusqu'à son lieu saint?" (Ps 24:3).
La question que David pose ici est: " qui peut s'approcher de Dieu et paraître en sa sainte présence?".
Une question très intéressante. Car, elle sous-entend que ne s'approche pas de Dieu qui veut et que pour obtenir cette grâce il faut absolument remplir quelque condition.
Comme Dieu est Saint, on doit logiquement s'attendre à ce qu'il ne tolère rien d'impur à son contact; qu'il n'admette rien de souillé en sa présence. Il s'en suit que quiconque désire s'approcher de Lui doit nécessairement se sanctifier.
Ce verset nous interpèlle sérieusement. Il nous pousse à nous considérer nous-mêmes à la lumière de la Sainte Loi de Dieu pour savoir si notre vie est conforme à sa sainteté. Il nous impose une certaine discipline de vie rigoureuse qui tranche nettement avec le mode de vie du monde.
Que cela soit claire à votre esprit. Si vous désirez vous approcher de Dieu, eh bien soyez saint. Ayez "vos mains innocentes", "votre cœur pur" et "ne livrez pas son âme au mensonge" (Ps 24:4).
"Les mains innocentes" évoquent des actions bonnes, une conduite juste et droite. "Le cœur pur", c'est un cœur qui est débarrassé de tout désir, sentiment ou pensée mauvais (e); ainsi que de toute idole. C'est un cœur dans lequel règne l'amour de Dieu.
Ainsi donc, l'homme qui désire être admis dans la sainte présence de Dieu, doit s'efforcer de se tenir dans la sainteté de Dieu. Il doit être saint dans son être intérieur comme dans sa conduite. Il doit continuellement faire de la sainteté le désir de son cœur, l'objet de ses pensées et la marque de sa vie. Sinon, il ne peut être agréé par Dieu.
La question que David pose ici est: " qui peut s'approcher de Dieu et paraître en sa sainte présence?".
Une question très intéressante. Car, elle sous-entend que ne s'approche pas de Dieu qui veut et que pour obtenir cette grâce il faut absolument remplir quelque condition.
Comme Dieu est Saint, on doit logiquement s'attendre à ce qu'il ne tolère rien d'impur à son contact; qu'il n'admette rien de souillé en sa présence. Il s'en suit que quiconque désire s'approcher de Lui doit nécessairement se sanctifier.
Ce verset nous interpèlle sérieusement. Il nous pousse à nous considérer nous-mêmes à la lumière de la Sainte Loi de Dieu pour savoir si notre vie est conforme à sa sainteté. Il nous impose une certaine discipline de vie rigoureuse qui tranche nettement avec le mode de vie du monde.
Que cela soit claire à votre esprit. Si vous désirez vous approcher de Dieu, eh bien soyez saint. Ayez "vos mains innocentes", "votre cœur pur" et "ne livrez pas son âme au mensonge" (Ps 24:4).
"Les mains innocentes" évoquent des actions bonnes, une conduite juste et droite. "Le cœur pur", c'est un cœur qui est débarrassé de tout désir, sentiment ou pensée mauvais (e); ainsi que de toute idole. C'est un cœur dans lequel règne l'amour de Dieu.
Ainsi donc, l'homme qui désire être admis dans la sainte présence de Dieu, doit s'efforcer de se tenir dans la sainteté de Dieu. Il doit être saint dans son être intérieur comme dans sa conduite. Il doit continuellement faire de la sainteté le désir de son cœur, l'objet de ses pensées et la marque de sa vie. Sinon, il ne peut être agréé par Dieu.
mercredi 14 décembre 2011
L'amour du père
"...Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa ... le père dit à ses serviteurs: Apportez vite la plus belle
robe, et l'en revêtez; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers
aux pieds. Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous; car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie;
il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir" (Luc 15: 20-24).
Quand le fils décide de retourner à son père, il est convaincu qu'il a commis un grave péché, qu'il ne mérite plus d'être appelé "fils" et que plus rien n'existe entre son père et lui. Il se contenterait volontiers si son père voudrait bien lui accorder cette grâce d'une place de serviteur.
Mais comment le père l'accueille t-il? Avec empressement et transport.
Le récit nous dit: 1) qu'il vit son fils de loin, 2) fut ému de compassion, 3)courut se jeter à son cou,4) le baisa. 5) Et sans faire attention à la confession de son fils, 6) ordonna à ses serviteurs de vite apporter la plus belle robe et de l'en revêtir, 7) de lui mettre un anneau au doigt, 8) et de lui mettre des souliers aux pieds. 9) Enfin, il commanda que fut tué le veau le plus gras, 10) et il donna une grande fête en l'honneur de son fils.
Le fait pour le père de retrouver son fils, qui selon lui était "perdu", "mort" le rendait plus heureux que tout. Il était comblé de bonheur de le retrouver.
Comment le père regarde t-il maintenant son fils rebelle qui revient à lui?
Il l'appelle toujours "mon fils" et le traite non pas comme un serviteur mais comme un prince. La rébellion de son fils et son départ de la maison lui ont certainement brisé le cœur. Malgré tout, l'amour qu'il avait pour lui demeurait comme au premier jour.
Le fils dans cette histoire, c'est toi, c'est moi, le rebelle qui s'est éloigné de Dieu et a brisé ses commandements .
Et qui est le père? C'est Dieu. Lequel nous aime d'un amour impérissable et dont la seule joie est de nous voir revenir à lui. Ce qui fait la joie de Dieu, c'est de nous retrouver, nous ses fils et ses filles, qui sommes perdus.
"...mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé".
C'est assez, bien-aimé, retourne maintenant à Dieu ton père qui t'attend avec amour. Tu n'as rien à craindre. Vas à Lui seulement dans la repentance et il t'accueillera avec joie.
Quand le fils décide de retourner à son père, il est convaincu qu'il a commis un grave péché, qu'il ne mérite plus d'être appelé "fils" et que plus rien n'existe entre son père et lui. Il se contenterait volontiers si son père voudrait bien lui accorder cette grâce d'une place de serviteur.
Mais comment le père l'accueille t-il? Avec empressement et transport.
Le récit nous dit: 1) qu'il vit son fils de loin, 2) fut ému de compassion, 3)courut se jeter à son cou,4) le baisa. 5) Et sans faire attention à la confession de son fils, 6) ordonna à ses serviteurs de vite apporter la plus belle robe et de l'en revêtir, 7) de lui mettre un anneau au doigt, 8) et de lui mettre des souliers aux pieds. 9) Enfin, il commanda que fut tué le veau le plus gras, 10) et il donna une grande fête en l'honneur de son fils.
Le fait pour le père de retrouver son fils, qui selon lui était "perdu", "mort" le rendait plus heureux que tout. Il était comblé de bonheur de le retrouver.
Comment le père regarde t-il maintenant son fils rebelle qui revient à lui?
Il l'appelle toujours "mon fils" et le traite non pas comme un serviteur mais comme un prince. La rébellion de son fils et son départ de la maison lui ont certainement brisé le cœur. Malgré tout, l'amour qu'il avait pour lui demeurait comme au premier jour.
Le fils dans cette histoire, c'est toi, c'est moi, le rebelle qui s'est éloigné de Dieu et a brisé ses commandements .
Et qui est le père? C'est Dieu. Lequel nous aime d'un amour impérissable et dont la seule joie est de nous voir revenir à lui. Ce qui fait la joie de Dieu, c'est de nous retrouver, nous ses fils et ses filles, qui sommes perdus.
"...mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé".
C'est assez, bien-aimé, retourne maintenant à Dieu ton père qui t'attend avec amour. Tu n'as rien à craindre. Vas à Lui seulement dans la repentance et il t'accueillera avec joie.
mardi 13 décembre 2011
Le fils perdu et retrouvé
"Etant rentré en lui-même, il se dit: Combien de mercenaires chez mon
père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim! Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi" (Luc 15:17-18).
A la différence de la parabole de la brebis égarée et celle de la drachme perdue, où c'est le berger qui cherche la brebis égarée et la femme la drachme perdue jusqu'à la retrouvée; dans la parabole du fils prodigue, c'est le fils perdu lui-même qui retourne à la maison de son père ayant pris conscience de sa situation.
La brebis étant trop stupide pour retrouver son chemin et la drachme inconsciente pour retourner dans la boîte; ce qui est frappant dans ces deux paraboles, c'est l'initiative que Dieu - poussé par son amour prend et tout le mal qu'il se donne pour nous chercher et nous retrouver, étant totalement perdus et incapables de nous retrouver .
Se démarquant quelque peu de ces deux histoires, la parabole du fils prodigue met l'accent sur la rébellion de l'homme contre Dieu - sur sa misère spirituelle, morale et même matérielle loin de Dieu - mais surtout sur sa repentance comme moyen de son retour à Dieu (son salut). Il insiste sur la responsabilité et l’initiative de l'homme dans sa perte comme de son salut.
Dieu nous cherche et nous attend. Telle est l'attitude aimante et patiente du père qui est prêt à pardonner tous nos péchés et à nous accueillir. Toutefois, c'est à chacun de se repentir. Telle est l'attitude du fils prodigue qui ayant pris conscience de ses péchés et de sa culpabilité, se décide à retourner auprès de son père.
Et nul d'entre nous ne peut dire qu'il lui est impossible de se repentir, car par divers moyens en l’occurrence la souffrance, notre conscience et la parole de Dieu lue ou entendue , le Saint-Esprit essaye inlassablement de produire en nous la conviction du péché afin de nous conduire à la repentance. Mais certains lui résistent.
La repentance du fils prodigue est venue quand il est rentré en lui-même. De même, la repentance de tout homme commence quand il se laisse convaincre de péché par le Saint-Esprit. Laquelle prise de conscience ou conviction du péché conduit à une décision, à savoir l'abandon des péchés et le retour à la maison de Dieu. Telle est la vrai repentance. Elle est plus qu'un remords ou une confession de ses péchés. C'est un processus qui normalement aboutit à un abandon de tous ses péchés et à un retour à Dieu. Elle nous fait passer d'une vie de rébellion à une vie d'obéissance à Dieu, d'une vie de péché à une vie de sanctification.
Or la Bible nous enseigne que sans la repentance, il ne peut y avoir de pardon. La repentance est le seul moyen pour obtenir le pardon de Dieu et pour retrouver sa présence et sa communion bénies. Prenez en conscience.
A la différence de la parabole de la brebis égarée et celle de la drachme perdue, où c'est le berger qui cherche la brebis égarée et la femme la drachme perdue jusqu'à la retrouvée; dans la parabole du fils prodigue, c'est le fils perdu lui-même qui retourne à la maison de son père ayant pris conscience de sa situation.
La brebis étant trop stupide pour retrouver son chemin et la drachme inconsciente pour retourner dans la boîte; ce qui est frappant dans ces deux paraboles, c'est l'initiative que Dieu - poussé par son amour prend et tout le mal qu'il se donne pour nous chercher et nous retrouver, étant totalement perdus et incapables de nous retrouver .
Se démarquant quelque peu de ces deux histoires, la parabole du fils prodigue met l'accent sur la rébellion de l'homme contre Dieu - sur sa misère spirituelle, morale et même matérielle loin de Dieu - mais surtout sur sa repentance comme moyen de son retour à Dieu (son salut). Il insiste sur la responsabilité et l’initiative de l'homme dans sa perte comme de son salut.
Dieu nous cherche et nous attend. Telle est l'attitude aimante et patiente du père qui est prêt à pardonner tous nos péchés et à nous accueillir. Toutefois, c'est à chacun de se repentir. Telle est l'attitude du fils prodigue qui ayant pris conscience de ses péchés et de sa culpabilité, se décide à retourner auprès de son père.
Et nul d'entre nous ne peut dire qu'il lui est impossible de se repentir, car par divers moyens en l’occurrence la souffrance, notre conscience et la parole de Dieu lue ou entendue , le Saint-Esprit essaye inlassablement de produire en nous la conviction du péché afin de nous conduire à la repentance. Mais certains lui résistent.
La repentance du fils prodigue est venue quand il est rentré en lui-même. De même, la repentance de tout homme commence quand il se laisse convaincre de péché par le Saint-Esprit. Laquelle prise de conscience ou conviction du péché conduit à une décision, à savoir l'abandon des péchés et le retour à la maison de Dieu. Telle est la vrai repentance. Elle est plus qu'un remords ou une confession de ses péchés. C'est un processus qui normalement aboutit à un abandon de tous ses péchés et à un retour à Dieu. Elle nous fait passer d'une vie de rébellion à une vie d'obéissance à Dieu, d'une vie de péché à une vie de sanctification.
Or la Bible nous enseigne que sans la repentance, il ne peut y avoir de pardon. La repentance est le seul moyen pour obtenir le pardon de Dieu et pour retrouver sa présence et sa communion bénies. Prenez en conscience.
lundi 12 décembre 2011
Le fils perdu et non retrouvé
"Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d'entrer. Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d'années que je
te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m'as
donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras!" (Luc 15: 28-30).
La parole du fils prodigue met en scène trois acteurs principaux: le père, le fils cadet et le fils aîné. L'attitude de chacun de ces personnages est riche d'enseignement. Mais pour l'heure, penchons nous uniquement sur le cas du fils aîné.
Le fils aîné, bien qu'étant dans la maison du père, était lui aussi perdu; au même titre que son frère cadet qui est parti de la maison avec sa part d'héritage. Mais chose dramatique, c'est qu'alors que le fils cadet (prodigue) fut retrouvé, le fils aîné ne fut pas retrouvé. En effet, quand l'histoire finit, il est dehors avec son père, refusant de rentrer à la maison (dans la communion de son père).
Être dans la maison du père et cependant être perdu. Vivre avec le père et cependant ne pas le connaître.
Voici, bien aimé (e), un fait tragique qui doit amener chacun à réfléchir sérieusement sur l'état de sa propre relation avec Dieu. Car comment un fils ou une fille peut-il ou elle être dans la maison de son père et cependant ne pas le connaître et être perdu(e)? N'est-ce-pas malheureusement, le cas de ces nombreux croyants qui demeurent dans l’Église alors qu'ils n'ont jamais appartenu à Dieu ?
Le fils aîné était perdu, parce que:
1- Il n'avait pas vraiment de communion avec son père. C'est pourquoi, il ne pouvait pas partager sa joie.
2-Il n'avait pas l'amour du père en lui. C'est pourquoi, il n'avait pas l'amour de son frère (1Jn 4:21).
3- Il avait le sentiment de sa propre justice. C'est pourquoi, il a pu affirmer ne jamais avoir transgressé les ordres de son père. Il est un autre exemple du pharisien de la parabole du publicain et du pharisien (Luc 18:9-14).
4-Il servait son père par intérêt et non par reconnaissance. C'est pourquoi, il pouvait réclamer de son père une récompense pour le service qu'il lui a rendu (Luc 17: 7-10).
Tel était le fils aîné. Un membre d'église endurci,égoïste, aigri, propre juste, intéressé qui n'a pas en lui le cœur de Dieu. Un membre d'église qui ignore que le plus grand privilège qu'un fils puisse avoir avec son père , c'est d'être en communion avec lui. Il est présent dans la maison de Dieu, mais loin de Lui, perdu, mort.
Oh, ami chrétien, puisse cela ne pas être ton cas! Sinon repens-toi maintenant et donne-toi tout entier à Dieu.
La parole du fils prodigue met en scène trois acteurs principaux: le père, le fils cadet et le fils aîné. L'attitude de chacun de ces personnages est riche d'enseignement. Mais pour l'heure, penchons nous uniquement sur le cas du fils aîné.
Le fils aîné, bien qu'étant dans la maison du père, était lui aussi perdu; au même titre que son frère cadet qui est parti de la maison avec sa part d'héritage. Mais chose dramatique, c'est qu'alors que le fils cadet (prodigue) fut retrouvé, le fils aîné ne fut pas retrouvé. En effet, quand l'histoire finit, il est dehors avec son père, refusant de rentrer à la maison (dans la communion de son père).
Être dans la maison du père et cependant être perdu. Vivre avec le père et cependant ne pas le connaître.
Voici, bien aimé (e), un fait tragique qui doit amener chacun à réfléchir sérieusement sur l'état de sa propre relation avec Dieu. Car comment un fils ou une fille peut-il ou elle être dans la maison de son père et cependant ne pas le connaître et être perdu(e)? N'est-ce-pas malheureusement, le cas de ces nombreux croyants qui demeurent dans l’Église alors qu'ils n'ont jamais appartenu à Dieu ?
Le fils aîné était perdu, parce que:
1- Il n'avait pas vraiment de communion avec son père. C'est pourquoi, il ne pouvait pas partager sa joie.
2-Il n'avait pas l'amour du père en lui. C'est pourquoi, il n'avait pas l'amour de son frère (1Jn 4:21).
3- Il avait le sentiment de sa propre justice. C'est pourquoi, il a pu affirmer ne jamais avoir transgressé les ordres de son père. Il est un autre exemple du pharisien de la parabole du publicain et du pharisien (Luc 18:9-14).
4-Il servait son père par intérêt et non par reconnaissance. C'est pourquoi, il pouvait réclamer de son père une récompense pour le service qu'il lui a rendu (Luc 17: 7-10).
Tel était le fils aîné. Un membre d'église endurci,égoïste, aigri, propre juste, intéressé qui n'a pas en lui le cœur de Dieu. Un membre d'église qui ignore que le plus grand privilège qu'un fils puisse avoir avec son père , c'est d'être en communion avec lui. Il est présent dans la maison de Dieu, mais loin de Lui, perdu, mort.
Oh, ami chrétien, puisse cela ne pas être ton cas! Sinon repens-toi maintenant et donne-toi tout entier à Dieu.
dimanche 11 décembre 2011
Cherchez Ma face
"Mon cœur dit de ta part: Cherchez ma face! Je cherche ta face, ô Éternel!" ( Ps 27:8).
"Il y a d'abondantes joies devant ta face, des délices éternelles à ta droite" s'est réjoui David (Ps 16:11).
La présence de Dieu est source de vie. Elle nous apporte joie et paix. Elle restaure et elle guérit.
Celui qui a gouté une fois la présence de Dieu ne peut plus se satisfaire de rien d'autre. Que s'il vient à la perdre, c'est le chagrin, la désolation, le trouble, la sécheresse, la défaillance...
" Tu caches ta face: ils sont
tremblants; Tu leur retires le souffle: ils
expirent, Et retournent dans leur poussière." (Ps 104:29).
C'est cette tragique situation que le roi David nous décrit ici, où son propre cœur se faisant le porte-parole du Seigneur l'exhorte à chercher Sa face.
"Mon cœur dit de ta part: Cherchez ma face! Je cherche ta face, ô Éternel!" . Quelle puissante image!
"Mon cœur dit de ta part: Cherchez ma face! Je cherche ta face, ô Éternel!" . Quelle puissante image!
Il y a tellement de choses qui nous éloignent du Seigneur. Le péché naturellement qui rompt notre communion avec le Seigneur. Mais, il y a aussi le travail, la famille, la grossesse, les affaires, les jeux, les amis, les soucis et bien d'autres choses qui viennent s'interposer entre le Seigneur et nous. Et nous voilà, éloignés de Sa face et malheureux! Peu importe ce qui nous éloigne du Seigneur.
Maintenant, si telle est ta situation présente, alors écoute l'exhortation que ton propre cœur t'adresse en soupirant: "Cherchez ma face!Cherchez ma face!".
Vas-y! Ouvre la Bible et répands ton âme dans la prière. Cherche la face du Seigneur.
vendredi 9 décembre 2011
Le secret pour être toujoiurs joyeux
"Soyez toujours joyeux" (1 Thes 5:15).
Être toujours joyeux, c’est être en tout temps content. C'est être toujours triomphant.
La Bible ne dit-elle pas que "nous sommes plus que vainqueurs en Christ?" (Rom 8:37): Vainqueurs de la mort, vainqueurs de Satan et de ses démons, vainqueurs des tribulations, vainqueurs de toutes les adversités ? Si donc vous croyez que vous êtes victorieux en Christ, alors vous devez être toujours joyeux. Votre joie doit être l'expression, le signe de votre triomphe dans le Seigneur.
Quand vous êtes joyeux, vous donner l'opportunité à Dieu d'agir dans votre vie, parce que vous montrez qu'il domine sur tous vos problèmes.Quand vous êtes joyeux, vous êtes plein de force. "Car la joie de l’Éternel est notre force".
Aussi, vous conviendrez avec moi, que pour notre santé, il vaut mieux être joyeux que d’humeur maussade. Car la joie est un sentiment de vie et de bien-être.
"Un cœur joyeux rend le visage serein; Mais quand le cœur est triste, l'esprit est abattu" (Prov 15:13).
"Un cœur joyeux est un bon remède, Mais un esprit abattu dessèche les os" (Prov 17:22).
C’est donc de bon droit que l'apôtre Paul nous fait cette recommandation dont nous venons de reconnaître tout l'intérêt. Toutefois une préoccupation importante demeure. Elle se rapporte à la mise en application effective cette parole. Comment en effet,pouvons-nous être toujours joyeux alors que les soucis et la souffrance de ce monde sont propres à nous attrister?
Il n'est point besoin de demander à une personne d’être en joie quand tout va bien pour elle ; cela va de soi, c’est tout naturel. Mais quand elle fait fasse à des situations difficiles, hum ça devient compliqué!
C’est que la joie ne se commande pas, ni ne s’achète. On ne peut pas non plus la produire soi-même ou même la simuler. C’est ici qu’on peut avoir du mal à suivre Paul. Et pourtant, qui oserait le désavouer !
Il suffit de lire ses épitres pour comprendre que ce qu’il nous commande n’est pas hors d’atteinte. Car en dépit de ses chaînes dont il nous fait part, on le découvre débordant de joie. Quel était donc son secret ?
Ceci! Il demeurait dans une communion vivante et permanente avec le Seigneur.
Dieu est la source de toute joie et c'est Lui qui la produit ou la déverse dans notre cœur. Il se trouve alors que toute personne qui vit dans l’intimité du Seigneur est en état de grâce. Car le Saint-Esprit répand dans son cœur Sa joie surnaturelle, de sorte qu’elle peut même être malade et cependant posséder cette douceur intérieure.
La joie ne dépend donc pas des circonstances, encore moins de nous, ni même de nos réussites ou de nos possessions matérielles. Elle est liée à la présence du Seigneur dans notre cœur.
Pour être toujours joyeux, vous n'avez rien d'autre à faire, qu'à demeurer dans la communion du Seigneur. Bien-aimé(e), de la même manière qu'une branche est attachée à l'arbre, demeurez dans la communion du Seigneur et vous serez toujours joyeux, quoiqu’il arrive. C'est mon expérience!
Être toujours joyeux, c’est être en tout temps content. C'est être toujours triomphant.
La Bible ne dit-elle pas que "nous sommes plus que vainqueurs en Christ?" (Rom 8:37): Vainqueurs de la mort, vainqueurs de Satan et de ses démons, vainqueurs des tribulations, vainqueurs de toutes les adversités ? Si donc vous croyez que vous êtes victorieux en Christ, alors vous devez être toujours joyeux. Votre joie doit être l'expression, le signe de votre triomphe dans le Seigneur.
Quand vous êtes joyeux, vous donner l'opportunité à Dieu d'agir dans votre vie, parce que vous montrez qu'il domine sur tous vos problèmes.Quand vous êtes joyeux, vous êtes plein de force. "Car la joie de l’Éternel est notre force".
Aussi, vous conviendrez avec moi, que pour notre santé, il vaut mieux être joyeux que d’humeur maussade. Car la joie est un sentiment de vie et de bien-être.
"Un cœur joyeux rend le visage serein; Mais quand le cœur est triste, l'esprit est abattu" (Prov 15:13).
"Un cœur joyeux est un bon remède, Mais un esprit abattu dessèche les os" (Prov 17:22).
C’est donc de bon droit que l'apôtre Paul nous fait cette recommandation dont nous venons de reconnaître tout l'intérêt. Toutefois une préoccupation importante demeure. Elle se rapporte à la mise en application effective cette parole. Comment en effet,pouvons-nous être toujours joyeux alors que les soucis et la souffrance de ce monde sont propres à nous attrister?
Il n'est point besoin de demander à une personne d’être en joie quand tout va bien pour elle ; cela va de soi, c’est tout naturel. Mais quand elle fait fasse à des situations difficiles, hum ça devient compliqué!
C’est que la joie ne se commande pas, ni ne s’achète. On ne peut pas non plus la produire soi-même ou même la simuler. C’est ici qu’on peut avoir du mal à suivre Paul. Et pourtant, qui oserait le désavouer !
Il suffit de lire ses épitres pour comprendre que ce qu’il nous commande n’est pas hors d’atteinte. Car en dépit de ses chaînes dont il nous fait part, on le découvre débordant de joie. Quel était donc son secret ?
Ceci! Il demeurait dans une communion vivante et permanente avec le Seigneur.
Dieu est la source de toute joie et c'est Lui qui la produit ou la déverse dans notre cœur. Il se trouve alors que toute personne qui vit dans l’intimité du Seigneur est en état de grâce. Car le Saint-Esprit répand dans son cœur Sa joie surnaturelle, de sorte qu’elle peut même être malade et cependant posséder cette douceur intérieure.
La joie ne dépend donc pas des circonstances, encore moins de nous, ni même de nos réussites ou de nos possessions matérielles. Elle est liée à la présence du Seigneur dans notre cœur.
Pour être toujours joyeux, vous n'avez rien d'autre à faire, qu'à demeurer dans la communion du Seigneur. Bien-aimé(e), de la même manière qu'une branche est attachée à l'arbre, demeurez dans la communion du Seigneur et vous serez toujours joyeux, quoiqu’il arrive. C'est mon expérience!
jeudi 8 décembre 2011
Aimes-tu Dieu: quelle en est la preuve?
"Si vous m'aimez, gardez mes commandements"(Jn 14:15).
Qu'ils appartiennent à une religion ou non, une chose est sûre; c'est que la plupart des gens aujourd'hui prétendent aimer Dieu. Sans doute, fais-tu partie de ces gens!
Mais comment démontres-tu ton amour à Dieu? De quelle manière manifestes-tu ton amour au Seigneur?
Quelqu'un a dit :"L'amour ne se déclare pas seulement; il se montre pas des actes".
Si tu as déjà aimé quelqu'un dans ta vie, tu dois reconnaitre que l'amour n'est pas juste un sentiment qu'on éprouve dans le cœur. Mais que c'est également une force agissante, qui nous pousse sans cesse à donner et à rechercher le bien de la personne qu'on aime.
"Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité" (1 Jn 3:18).
Vois-tu! Dieu ne s'est pas contenté de nous déclarer Son amour. Il nous l'a démontré par le don de Son Fils Jésus à la croix.
"Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous " (1 Jn 3:16).
Si donc tu aimes Dieu, tu dois garder ses commandements. C'est la preuve que tu l'aimes vraiment.
"Si vous m'aimez, gardez mes commandements" nous dit le Seigneur Jésus.
Et la Bible nous enseigne que les commandements de Dieu ne sont pas pénibles. Ils ne sont pas hors de notre portée. Mais avec notre volonté et la force du Saint-Esprit, nous pouvons les pratiquer.
L'amour nous rend capable de tout. Il nous pousse à des sacrifices incroyables. En particulier, l'amour qu'une personne a pour Dieu la rend capable d'obéir à Sa Sainte Loi.
Il doit en être ainsi pour toi. Sinon tu n'est qu'un hypocrite.
Qu'ils appartiennent à une religion ou non, une chose est sûre; c'est que la plupart des gens aujourd'hui prétendent aimer Dieu. Sans doute, fais-tu partie de ces gens!
Mais comment démontres-tu ton amour à Dieu? De quelle manière manifestes-tu ton amour au Seigneur?
Quelqu'un a dit :"L'amour ne se déclare pas seulement; il se montre pas des actes".
Si tu as déjà aimé quelqu'un dans ta vie, tu dois reconnaitre que l'amour n'est pas juste un sentiment qu'on éprouve dans le cœur. Mais que c'est également une force agissante, qui nous pousse sans cesse à donner et à rechercher le bien de la personne qu'on aime.
"Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité" (1 Jn 3:18).
Vois-tu! Dieu ne s'est pas contenté de nous déclarer Son amour. Il nous l'a démontré par le don de Son Fils Jésus à la croix.
"Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous " (1 Jn 3:16).
Si donc tu aimes Dieu, tu dois garder ses commandements. C'est la preuve que tu l'aimes vraiment.
"Si vous m'aimez, gardez mes commandements" nous dit le Seigneur Jésus.
Et la Bible nous enseigne que les commandements de Dieu ne sont pas pénibles. Ils ne sont pas hors de notre portée. Mais avec notre volonté et la force du Saint-Esprit, nous pouvons les pratiquer.
L'amour nous rend capable de tout. Il nous pousse à des sacrifices incroyables. En particulier, l'amour qu'une personne a pour Dieu la rend capable d'obéir à Sa Sainte Loi.
Il doit en être ainsi pour toi. Sinon tu n'est qu'un hypocrite.
mercredi 7 décembre 2011
L'obligation de rendre grâce à Dieu
"Rendez grâces en toutes choses, car c'est à votre égard la volonté de Dieu en Jésus-Christ" (1 Thes 5:18).
L'exhortation qui nous est adressée en cet endroit de l’Écriture, est que pour tous les évènements - soit heureux , soit malheureux- qui surviennent dans notre vie, nous devons dire merci à Dieu .
C'est là, avouons-le, une manière sublime et stoïque d'apprécier tous les évènements qui se produisent dans notre vie. Cette attitude me paraît aussi comme un signe non moins éloquent de maturité spirituelle.
Du reste, l'apôtre nous explique que telle est la volonté de Dieu à notre égard. L'attitude même que Dieu voudrait que nous adoptons vis-à-vis de Lui, en tout temps et en toute circonstance.
Comment en effet, ne rendrons nous pas grâces à Celui qui fait concourir toutes choses à notre bien, spirituel surtout? Nous devons toujours rendre grâce à Dieu, parce que c'est Lui qui fait ou qui permet toutes choses dans notre vie. Et vous savez ce que dit la Bible. Dieu fait concourir toutes choses à notre bien.
Nous devons bien comprendre que cette recommandation qui nous est faite ne signifie pas pour nous d'accepter avec résignation tout ce qui nous arrive ou de nous laisser aller au gré des évènements. Loin delà. Nous avons à prier et à lutter pour que tout aille pour le mieux dans notre vie.
Mais si nous appelés à rendre grâces à Dieu en toutes choses, c'est une invitation pour nous à reconnaitre dans tout fait qui se produit dans notre vie , une main, une action et un plan de Dieu. Lequel non seulement contrôle tous les évènements et sans la volonté de qui rien n'arrive; mais qui de surcroit fait toute chose bonne en son temps, pour notre bien et pour sa gloire.
Par notre attitude de reconnaissance à Dieu, nous sommes appelés à rendre hommage à l'amour, à la justice et à la souveraineté de Dieu, par lesquelles il opère ou permet toute chose dans le but de faire aboutir ses desseins personnels dans nos vies.
Aussi vrai , enfant de Dieu, que tout ce que nous méritons de Dieu, c'est sa colère. Aussi vrai, que nous ne sommes rien, n'avons rien et ne pouvons rien sans Dieu. Aussi vrai que c'est de Dieu que nous recevons toutes choses pour notre bien; et que tout ce qu'il nous envoie comme joie ou comme douleur, il le fait par son amour et par sa justice; nous n’envisagerons pas même un instant de murmurer et à nous plaindre contre Lui. Nous apprendrons à nous incliner devant Lui et à Lui rendre seulement et toujours grâces.
L'exhortation qui nous est adressée en cet endroit de l’Écriture, est que pour tous les évènements - soit heureux , soit malheureux- qui surviennent dans notre vie, nous devons dire merci à Dieu .
C'est là, avouons-le, une manière sublime et stoïque d'apprécier tous les évènements qui se produisent dans notre vie. Cette attitude me paraît aussi comme un signe non moins éloquent de maturité spirituelle.
Du reste, l'apôtre nous explique que telle est la volonté de Dieu à notre égard. L'attitude même que Dieu voudrait que nous adoptons vis-à-vis de Lui, en tout temps et en toute circonstance.
Comment en effet, ne rendrons nous pas grâces à Celui qui fait concourir toutes choses à notre bien, spirituel surtout? Nous devons toujours rendre grâce à Dieu, parce que c'est Lui qui fait ou qui permet toutes choses dans notre vie. Et vous savez ce que dit la Bible. Dieu fait concourir toutes choses à notre bien.
Nous devons bien comprendre que cette recommandation qui nous est faite ne signifie pas pour nous d'accepter avec résignation tout ce qui nous arrive ou de nous laisser aller au gré des évènements. Loin delà. Nous avons à prier et à lutter pour que tout aille pour le mieux dans notre vie.
Mais si nous appelés à rendre grâces à Dieu en toutes choses, c'est une invitation pour nous à reconnaitre dans tout fait qui se produit dans notre vie , une main, une action et un plan de Dieu. Lequel non seulement contrôle tous les évènements et sans la volonté de qui rien n'arrive; mais qui de surcroit fait toute chose bonne en son temps, pour notre bien et pour sa gloire.
Par notre attitude de reconnaissance à Dieu, nous sommes appelés à rendre hommage à l'amour, à la justice et à la souveraineté de Dieu, par lesquelles il opère ou permet toute chose dans le but de faire aboutir ses desseins personnels dans nos vies.
Aussi vrai , enfant de Dieu, que tout ce que nous méritons de Dieu, c'est sa colère. Aussi vrai, que nous ne sommes rien, n'avons rien et ne pouvons rien sans Dieu. Aussi vrai que c'est de Dieu que nous recevons toutes choses pour notre bien; et que tout ce qu'il nous envoie comme joie ou comme douleur, il le fait par son amour et par sa justice; nous n’envisagerons pas même un instant de murmurer et à nous plaindre contre Lui. Nous apprendrons à nous incliner devant Lui et à Lui rendre seulement et toujours grâces.
mardi 6 décembre 2011
Etait-ce-possible que Jésus ne souffrit pas la croix?
"Dès lors Jésus commença à faire connaître
à ses disciples qu'il fallait qu'il allât à Jérusalem,
qu'il souffrît beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs
et des scribes, qu'il fût mis à mort, et qu'il ressuscitât
le troisième jour" (Math 16:21).
Le Seigneur Jésus, lui même nous dit ici, "qu'il
fallait qu'il souffre et qu'il soit mis à mort".
"Il fallait" dit-il, c'est-à-dire qu'il était nécessaire, inévitable. Qu'il fasse quoi? Qu'il mange, boive, dorme, achète une maison,...? Rien de tout cela. Mais "qu'il souffre, et qu'il souffre beaucoup, énormément, atrocement et enfin de compte qu'il soit mis à mort". Jésus présente ses souffrances et sa mort comme une chose indispensable, qu'il devrait à tout prix subir.
Et pourquoi devrait-il à tout prix souffrir et être mis à mort?
Une seule réponse. A cause de nos péchés. A cause de mes péchés. A cause de tes péchés.
"Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé;
Et nous l'avons considéré comme puni,Frappé de Dieu, et humilié" (Es 53:4).
Pensez à Jésus, luttant à Gethsémané, suppliant son Père que sa coupe lui soit épargnée. Regardez-le trembler de tout son être. Entendez-le pleurer et gémir. "Père s'il est possible que cette coupe s'éloigne de moi". Le Père accéda t-il à sa requête? Non!
C'est quand vous comprenez qu'il n'était
pas possible pour Christ qu'il fusse épargné de la souffrance et de la mort,
que vous comprenez toute la gravité du péché et le prix qu'il a payé
pour votre salut. Car nos péchés devraient absolument être punis. "Car le salaire du péché, c'est la mort". La loi et la justice de Dieu devraient être satisfaites pleinement, au même titre que Dieu désirait nous manifester son amour et nous accorder son salut.
Oh bien-aimé(e), comprends-tu pourquoi Jésus a souffert ? Réalises-tu à quel point, il a souffert? Et pourquoi ses souffrances ne pouvaient pas lui être épargnées? C'est pour toi.
Aussi, repens-toi de tous tes péchés, crois en Jésus de tout ton cœur et commence par la grâce du Saint-Esprit une vie nouvelle de sanctification. C'est en cela que les souffrances et la mort de Jésus auront une signification et une valeur pour toi; et surtout qu'elles seront salutaires pour toi.
lundi 5 décembre 2011
Connaître le Fils de Dieu
"Et vous, leur dit-il, qui dites-vous que je suis? Simon Pierre répondit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Jésus, reprenant la parole, lui dit: Tu es heureux, Simon, fils
de Jonas; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé
cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux" (Math 16:15-17).
Jésus avait une identité cachée . Bien que né d'une femme et ayant grandi aux milieu des hommes, nul homme ne savait avec certitude qui il était, même pas ses proches. Exceptés peut être sa mère et son père Joseph à qui l'ange Gabriel avait parlés avant sa naissance.
Sinon pour le reste, Jésus était une énigme, un sujet de controverse et de contradiction. Au point, qu'on lui attribuait toutes sortes de noms, de titres et d'identités, qui allaient des plus honorables au plus dédaigneux: Jean-Baptiste, Élie, Jérémie, l'un des prophètes, le prophète, le roi d’Israël, fils de David, un samaritain, un démon,etc.
Comme Dieu Son Père, Jésus est un mystère, le mystère des mystères. A moins d'une révélation du Saint-Esprit , personne parmi nous ne peut le connaître, même pas le plus grand savant.
"...et personne ne connaît qui est le Fils" (Luc 10:22).
Même les disciples qui marchaient avec Jésus, avaient pour le connaître besoin d'une révélation surnaturelle .
"...car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux".
Ainsi, avons-nous pareillement besoin que l'Esprit de Dieu nous ouvre les yeux, afin que nous puissions contempler la gloire du Fils Unique de Dieu.
Il est bien de lire et d'écouter les discours des hommes qui vous parlent de Jésus. Cependant, sachez, qu'aucune prédication ou témoignage d'un homme ne vous fera mieux connaître le Fils de Dieu, qu'une révélation surnaturelle et personnelle de l'Esprit de Dieu.
En ce qui concerne particulièrement la connaissance de Jésus, vous devez absolument recherchez la révélation du Saint-Esprit, lequel a reçu mandat de nous le révéler. Aussi sans placer votre confiance en sagesse propre, mais en vous confiant à la grâce de L’esprit de Dieu; efforcez-vous d'avoir une vraie vie de méditation des Saintes Écritures et de prière . Ce n'est que de cette manière que vous pouvez entrer en relation avec le Fils de Dieu et Le connaître.
Jésus avait une identité cachée . Bien que né d'une femme et ayant grandi aux milieu des hommes, nul homme ne savait avec certitude qui il était, même pas ses proches. Exceptés peut être sa mère et son père Joseph à qui l'ange Gabriel avait parlés avant sa naissance.
Sinon pour le reste, Jésus était une énigme, un sujet de controverse et de contradiction. Au point, qu'on lui attribuait toutes sortes de noms, de titres et d'identités, qui allaient des plus honorables au plus dédaigneux: Jean-Baptiste, Élie, Jérémie, l'un des prophètes, le prophète, le roi d’Israël, fils de David, un samaritain, un démon,etc.
Comme Dieu Son Père, Jésus est un mystère, le mystère des mystères. A moins d'une révélation du Saint-Esprit , personne parmi nous ne peut le connaître, même pas le plus grand savant.
"...et personne ne connaît qui est le Fils" (Luc 10:22).
Même les disciples qui marchaient avec Jésus, avaient pour le connaître besoin d'une révélation surnaturelle .
"...car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux".
Ainsi, avons-nous pareillement besoin que l'Esprit de Dieu nous ouvre les yeux, afin que nous puissions contempler la gloire du Fils Unique de Dieu.
Il est bien de lire et d'écouter les discours des hommes qui vous parlent de Jésus. Cependant, sachez, qu'aucune prédication ou témoignage d'un homme ne vous fera mieux connaître le Fils de Dieu, qu'une révélation surnaturelle et personnelle de l'Esprit de Dieu.
En ce qui concerne particulièrement la connaissance de Jésus, vous devez absolument recherchez la révélation du Saint-Esprit, lequel a reçu mandat de nous le révéler. Aussi sans placer votre confiance en sagesse propre, mais en vous confiant à la grâce de L’esprit de Dieu; efforcez-vous d'avoir une vraie vie de méditation des Saintes Écritures et de prière . Ce n'est que de cette manière que vous pouvez entrer en relation avec le Fils de Dieu et Le connaître.
samedi 3 décembre 2011
Les pharisiens et la gloire des hommes
"Ils font toutes leurs actions pour être vus des hommes..." (Math 23:5).
L'une des choses qui caractérisait les pharisiens, c'était leur amour pour la gloire des hommes.
Jésus a rendu d'eux le témoignage qu'ils faisaient toutes leurs actions pour être vus des hommes, de qui ils tiraient leur gloire (Jn 5:44).
Ils portaient de larges phylactères et ils avaient de longues robes à leurs vêtements, de manière à attirer l'attention de la foule sur eux. Ils aimaient les premières places dans les festins et les premiers sièges dans les synagogues. Ils aimaient à être salués dans les places publiques et à être appelés "rabbi" (Math 23:5-7). Ils pratiquaient leur justice devant les hommes pour en être vus. Ainsi, faisaient ils leurs aumônes à grande pompe, priaient dans les synagogues et dans les rues et prenaient un air triste quand ils jeûnaient (Math 6:1-6;16-18).
Les pharisiens désiraient la gloire des hommes. Ils se réjouissaient de l'approbation et la louange des hommes. Ils vivaient pour eux-mêmes, quand même ils étaient religieux et qu'ils prétendaient servir Dieu.
L'apôtre Paul a écrit ces paroles aux chrétiens de Galates.
"Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de
Dieu? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes? Si je plaisais encore
aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ" (Gal 1:10).
Nous pouvons décrier cette attitude charnelle des pharisiens. Mais sommes nous vraiment différents d'eux? Ne sommes nous pas pareils à eux quand nous cherchons à être acceptés et appréciés par les hommes? N'est-ce-pas le même désir de plaire aux hommes qui nous anime alors que nous cherchons à être à la mode ou encore quand nous choisissons de nous taire ou de mentir au lieu de dire la vérité?
Puisse Dieu nous délivrer d'un tel désir et d'une telle vie qui sont loin de l'honorer!
vendredi 2 décembre 2011
La présence de Dieu
"...Malheur à moi,
Seigneur Eternel! car j'ai vu l'ange de l'Eternel face à face" (Jug 6:22) .
Il est vrai que quiconque fait l’expérience de la présence de Dieu dans sa vie, connaît la paix et la joie surnaturelles du Seigneur dans son cœur. La vie et la force de l'Esprit de Dieu sont répandues en lui, tellement qu'il devient semblable à un arbre planté près d'un courant d'eau. Il est toujours verdoyant et son feuillage ne se flétrit point.
Mais n'y a-t-il que ce seul sentiment de félicité qui l'habite? N'est-il pas aussi animé par un sentiment de crainte et de révérence de Dieu?
La Bible nous enseigne que la présence de Dieu n'est pas seulement merveilleuse. Elle aussi terrifiante, effrayante. Si bien que nous sommes conduit à trembler devant Dieu et à le révérer.
"Malheur à moi, Seigneur Éternel! car j'ai vu l'ange de l’Éternel face à face".
Telle était la plupart du temps, les mots qui s'échappaient des lèvres des personnes qui recevaient une révélation de la gloire du Seigneur ou une visitation de son ange. Elles ne jubilaient pas. Mais elles tombaient littéralement face contre terre dans l'adoration.
Quelle énorme difference avec ce que nous observons aujourd'hui chez certains chrétiens et dans certaines de nos assemblées, alors que nous prétendons que Dieu est au milieu de nous! Seulement que des cris, des applaudissements et des jubilations; mais pas de crainte de Dieu.
Il doit avoir forcément dans tout ceci quelque chose de charnel et de faux. Rien que de l' émotion.
Mais voyons! Comment donc l'Esprit de Dieu qui est Saint, peut -il se manifester en lieu sans y répandre la Sainteté de Dieu? Si vous reconnaissez que l'Esprit de Dieu est Saint, vous reconnaîtrez aussi que sa présence sanctifie. N'est-ce-pas vrai?
Crois tu que le Seigneur est présent en toi? C'est simple à savoir. Éprouves -tu la crainte de son Nom? As-tu soif de sa sainteté?
Crois tu que le Seigneur est présent dans votre assemblée? Quelle attitude cette présence vous inspire t-elle à l'égard du péché? A l'égard de Sa Sainte Parole? A l'égard de la Sainte Personne de Christ?
Soyons sérieux!
Il est vrai que quiconque fait l’expérience de la présence de Dieu dans sa vie, connaît la paix et la joie surnaturelles du Seigneur dans son cœur. La vie et la force de l'Esprit de Dieu sont répandues en lui, tellement qu'il devient semblable à un arbre planté près d'un courant d'eau. Il est toujours verdoyant et son feuillage ne se flétrit point.
Mais n'y a-t-il que ce seul sentiment de félicité qui l'habite? N'est-il pas aussi animé par un sentiment de crainte et de révérence de Dieu?
La Bible nous enseigne que la présence de Dieu n'est pas seulement merveilleuse. Elle aussi terrifiante, effrayante. Si bien que nous sommes conduit à trembler devant Dieu et à le révérer.
"Malheur à moi, Seigneur Éternel! car j'ai vu l'ange de l’Éternel face à face".
Telle était la plupart du temps, les mots qui s'échappaient des lèvres des personnes qui recevaient une révélation de la gloire du Seigneur ou une visitation de son ange. Elles ne jubilaient pas. Mais elles tombaient littéralement face contre terre dans l'adoration.
Quelle énorme difference avec ce que nous observons aujourd'hui chez certains chrétiens et dans certaines de nos assemblées, alors que nous prétendons que Dieu est au milieu de nous! Seulement que des cris, des applaudissements et des jubilations; mais pas de crainte de Dieu.
Il doit avoir forcément dans tout ceci quelque chose de charnel et de faux. Rien que de l' émotion.
Mais voyons! Comment donc l'Esprit de Dieu qui est Saint, peut -il se manifester en lieu sans y répandre la Sainteté de Dieu? Si vous reconnaissez que l'Esprit de Dieu est Saint, vous reconnaîtrez aussi que sa présence sanctifie. N'est-ce-pas vrai?
Crois tu que le Seigneur est présent en toi? C'est simple à savoir. Éprouves -tu la crainte de son Nom? As-tu soif de sa sainteté?
Crois tu que le Seigneur est présent dans votre assemblée? Quelle attitude cette présence vous inspire t-elle à l'égard du péché? A l'égard de Sa Sainte Parole? A l'égard de la Sainte Personne de Christ?
Soyons sérieux!
jeudi 1 décembre 2011
La vraie adoration
" L'année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur assis sur un
trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient
le temple. Des séraphins se tenaient au-dessus de lui; ils avaient chacun six
ailes; deux dont ils se couvraient la face, deux dont ils se couvraient les
pieds, et deux dont ils se servaient pour voler. Ils criaient l'un à l'autre, et disaient: Saint, saint, saint est
l'Eternel des armées! toute la terre est pleine de sa gloire!" (Es 6:1-3)
Avec le prophète Esaïe, nous pouvons contempler dans cette vision éclatante et merveilleuse , non pas avec nos yeux charnels mais en esprit, le culte qui est rendu par les anges à Dieu au ciel. Ici comme en apocalypse 4:8, l'adoration des anges est une célébration de la Sainteté de Dieu.
Ce fait nous révèle que la vraie adoration est celle qui consiste à célébrer la sainteté de Dieu . Ainsi, nous adorons Dieu en vérité, quand nous comprenons et célébrons sa Sainteté.
Que signifie pour nous "célébrer la sainteté de Dieu"?
C'est reconnaître que Dieu est pur, qu'il est tout de lumière et sans péché; aussi qu'il est séparé et élevé au dessus de toutes ses créatures. Il ne doit être ni comparé, ni égalé, ni confondu à aucune de ses créatures. Être de toute gloire, de toute puissance et de toute sagesse, ...il doit être classé seul, mis à part.
Gardons nous toutefois de croire qu'il s'agit d'une simple reconnaissance de la suprématie et de la grandeur de Dieu. Car comment pouvons-nous reconnaître la sainteté de Dieu, sans nous humilier en sa présence?
Remarquons bien l'attitude des anges alors qu'ils proclament la Sainteté de Dieu. C'est là que tout se joue. Il est dit "qu'avec deux de leurs ailes, ils se cachent la face; et avec deux autres ils se couvrent les pieds". Quelle image!
Toute vraie adoration doit nous conduire à cacher notre face et à couvrir nos pieds devant Dieu.
La sainteté de Dieu est telle nul ne peut voir sa face. Ainsi, le fait de cacher notre face signifie que nous nous considérons comme indignes de Dieu. Le fait de cacher notre face signifie que nous nous dépouillons de nous-mêmes . Nous nous considérons comme nous sommes en réalité, comme des masses de terre et rien d'autre.
Le fait de couvrir nos pieds implique que nous nous séparons de tout péché, car la sainteté de Dieu est telle qu'il ne peut voir rien d'impur (nos pieds -Jean 13:10). Nous devons avoir le cœur pur et séparer notre corps de toute souillure.
Vous pouvez être certain de ceci. Si votre adoration ne vous conduit pas à vous dépouiller de vous-mêmes et à vous séparer de tout péché, elle n'est que pure hypocrisie, rien qu'un parfum inodore, sans odeur pour Dieu.
Avec le prophète Esaïe, nous pouvons contempler dans cette vision éclatante et merveilleuse , non pas avec nos yeux charnels mais en esprit, le culte qui est rendu par les anges à Dieu au ciel. Ici comme en apocalypse 4:8, l'adoration des anges est une célébration de la Sainteté de Dieu.
Ce fait nous révèle que la vraie adoration est celle qui consiste à célébrer la sainteté de Dieu . Ainsi, nous adorons Dieu en vérité, quand nous comprenons et célébrons sa Sainteté.
Que signifie pour nous "célébrer la sainteté de Dieu"?
C'est reconnaître que Dieu est pur, qu'il est tout de lumière et sans péché; aussi qu'il est séparé et élevé au dessus de toutes ses créatures. Il ne doit être ni comparé, ni égalé, ni confondu à aucune de ses créatures. Être de toute gloire, de toute puissance et de toute sagesse, ...il doit être classé seul, mis à part.
Gardons nous toutefois de croire qu'il s'agit d'une simple reconnaissance de la suprématie et de la grandeur de Dieu. Car comment pouvons-nous reconnaître la sainteté de Dieu, sans nous humilier en sa présence?
Remarquons bien l'attitude des anges alors qu'ils proclament la Sainteté de Dieu. C'est là que tout se joue. Il est dit "qu'avec deux de leurs ailes, ils se cachent la face; et avec deux autres ils se couvrent les pieds". Quelle image!
Toute vraie adoration doit nous conduire à cacher notre face et à couvrir nos pieds devant Dieu.
La sainteté de Dieu est telle nul ne peut voir sa face. Ainsi, le fait de cacher notre face signifie que nous nous considérons comme indignes de Dieu. Le fait de cacher notre face signifie que nous nous dépouillons de nous-mêmes . Nous nous considérons comme nous sommes en réalité, comme des masses de terre et rien d'autre.
Le fait de couvrir nos pieds implique que nous nous séparons de tout péché, car la sainteté de Dieu est telle qu'il ne peut voir rien d'impur (nos pieds -Jean 13:10). Nous devons avoir le cœur pur et séparer notre corps de toute souillure.
Vous pouvez être certain de ceci. Si votre adoration ne vous conduit pas à vous dépouiller de vous-mêmes et à vous séparer de tout péché, elle n'est que pure hypocrisie, rien qu'un parfum inodore, sans odeur pour Dieu.
mercredi 30 novembre 2011
Quand tout échoue
Croire alors que tout échoue
fait excessivement plaisir à Dieu. Jésus a dit à Thomas : “Parce que tu
m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru !”
(Jean 20:29)
Heureux sont ceux qui croient
alors qu'il n'y a aucun signe de réponse aux prières, qui font confiance
alors qu'il semble ne plus y avoir d'espoir et que tout a échoué.
Tu es peut-être arrivé à un
point où tu n'as plus d'espoir. Tu es arrivé au bout, au bout de tout
espoir, au bout de tout ce que tu as tenté. Un bien-aimé affronte la
mort et les docteurs disent que c'est sans espoir. La mort parait
inévitable. L'espoir s'en est allé. Le miracle pour lequel on a prié n'a
pas lieu.
C'est à ce moment que Satan
vient pour attaquer ton esprit avec de la peur, de la colère, des
questions accablantes : “Où est ton Dieu à présent? Tu as prié jusqu'à
ce qu'il ne te reste même pas une larme à verser. Tu as jeûné. Tu as
serré ses promesses. Tu lui as fait confiance.
Des
pensées blasphématoires vont être instillées dans ton esprit : “La
prière a échoué. La foi a échoué. N'abandonne pas Dieu, mais ne lui fait
simplement plus jamais confiance. Ça ne paie pas!”
Tu peux aller jusqu'à remettre
l'existence de Dieu en question. Satan a utilisé ces trucs pendant des
siècles. De nombreux hommes et femmes de Dieu ont subi ce genre
d'attaques démoniaques.
Vous qui traversez la vallée de
l'ombre de la mort, écoutez ces mots : les pleurs dureront jusqu'à ce
que, au milieu d'une nuit sombre et terrible, tu entendes le Père
murmurer : “Je suis avec toi. Je ne peux pas te dire maintenant pourquoi
tu affrontes ces choses, mais un jour, tu comprendras. Tu les verras
comme une partie de mon plan pour toi. Ce n'était pas un accident. Ce
n'était pas un échec de ta part. Tiens bon. Laisse-moi te soutenir dans
ces heures de peine.”
Bien-aimé. Dieu n'a jamais
cessé d'agir pour le bien et par amour. Quand tout échoue, son amour
l'emporte. Tiens bon par la foi. Tiens bon par sa Parole. Il n'y a pas
d'autre source d'espérance en ce monde.
Que Dieu vous bénisse
De David Wilkkerson
mardi 29 novembre 2011
L'art de vivre
"Je sais vivre dans l'humiliation, et je sais vivre dans l'abondance. En
tout et partout j'ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans
l'abondance et à être dans la disette"(Phil 4:12).
Apprendre à vous adapter à toutes les situations de la vie fera que vous serez toujours content et reconnaissant à Dieu. Vous serez non seulement en mesure de supporter toutes les privations. Mieux, vous en tirerez une satisfaction.
"Car j'ai appris à être content de l'état où je me trouve" nous dit l'apôtre (Phil 4:11).
Quelqu'un parmi, ignore -t-il encore que la vie sur la terre n'est pas toujours rose? Même avec Dieu, il y a des bons comme des mauvais jours. Tantôt, on peut être dans l'abondance. Tantôt, on peut se retrouver dans le manque, la disette.
La nécessité de nous adapter à chacune de ces situations s'impose donc à nous. Car il faut que nous ne nous laissons pas aller au découragement, mais que nous puissions partout et en tout temps continuer notre marche avec le Seigneur.
Comment alors pouvons-nous recevoir cette force, ou je devrais dire, cette grâce?
Eh bien, je crois que cette force nous vient de Dieu et c'est étant en Lui que nous la recevons.
"Je puis tout par celui qui me fortifie" dixit l'apôtre Paul (Phil 4:13).
Le secret de pouvoir supporter toutes les situations de la vie réside dans la confiance que nous plaçons en Dieu. Pour être capable de vivre dans l'abondance comme dans l'humiliation, vous devez placer toute votre confiance en Dieu. Vous devez demeurer en communion avec le Seigneur et accepter tout ce qui vous arrive comme faisant partir de Sa volonté souveraine à votre égard.
Si vous croyez que Dieu vous aime, qu'il fait ou permet toute chose pour votre bien, vous ne pourrez que Lui être reconnaissant en tout temps. N'est-ce-pas? Eh bien, là découle la grâce de tout supporter.
Apprendre à vous adapter à toutes les situations de la vie fera que vous serez toujours content et reconnaissant à Dieu. Vous serez non seulement en mesure de supporter toutes les privations. Mieux, vous en tirerez une satisfaction.
"Car j'ai appris à être content de l'état où je me trouve" nous dit l'apôtre (Phil 4:11).
Quelqu'un parmi, ignore -t-il encore que la vie sur la terre n'est pas toujours rose? Même avec Dieu, il y a des bons comme des mauvais jours. Tantôt, on peut être dans l'abondance. Tantôt, on peut se retrouver dans le manque, la disette.
La nécessité de nous adapter à chacune de ces situations s'impose donc à nous. Car il faut que nous ne nous laissons pas aller au découragement, mais que nous puissions partout et en tout temps continuer notre marche avec le Seigneur.
Comment alors pouvons-nous recevoir cette force, ou je devrais dire, cette grâce?
Eh bien, je crois que cette force nous vient de Dieu et c'est étant en Lui que nous la recevons.
"Je puis tout par celui qui me fortifie" dixit l'apôtre Paul (Phil 4:13).
Le secret de pouvoir supporter toutes les situations de la vie réside dans la confiance que nous plaçons en Dieu. Pour être capable de vivre dans l'abondance comme dans l'humiliation, vous devez placer toute votre confiance en Dieu. Vous devez demeurer en communion avec le Seigneur et accepter tout ce qui vous arrive comme faisant partir de Sa volonté souveraine à votre égard.
Si vous croyez que Dieu vous aime, qu'il fait ou permet toute chose pour votre bien, vous ne pourrez que Lui être reconnaissant en tout temps. N'est-ce-pas? Eh bien, là découle la grâce de tout supporter.
lundi 28 novembre 2011
Dans la vallée de l'ombre de la mort
" Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi:
Ta houlette et ton bâton me rassurent" (Ps 23:4).
Au verset premier de ce merveilleux psaume, David se considère comme la brebis de l’Éternel. Ainsi, l’Éternel est-il son berger, celui qui prend soin de lui, le garde et le guide.
Mais vous serez surpris d'apprendre que tout bon berger ne conduit pas toujours son troupeau sur les hauteurs des plateaux. Il le mène souvent dans les vallées. Or comme les vallées sont des endroits clos et mal éclairés, ils sont propices pour les attaques des prédateurs. De ce fait, passer dans une vallée c'est côtoyer de plus près le danger, la mort. D'où l'expression de David "la vallée de l'ombre de la mort".
Que représentent donc les vallées pour nous? Les temps et les saisons difficiles de notre vie, où nous sommes face à de grandes difficultés. La marche d'un enfant de Dieu n'est pas toujours agréable. Il y a des moments de grandes tentations et de frayeurs, des périodes de craintes et d'angoisses extrêmes. Et c'est Dieu lui-même qui le fait passer par là.
Toutefois, notez ce que dit David "Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi:Ta houlette et ton bâton me rassurent".
Dieu ne nous abandonne pas. Il est avec nous et sa présence nous réconforte. La houlette et le bâton dans la main du berger rassurent les brebis. Car ils ne servent pas seulement; la houlette à guider doucement sur un chemin étroit les brebis et à les ramener vers le berger; et le bâton à les discipliner ; mais également à les préserver du danger.
C'est pourquoi, si en ce moment même vous êtes conduit dans la vallée de l'ombre de la mort , croyez que Dieu est avec vous et ne vous abandonne pas. Il veille sur vous comme la prunelle de ses yeux. Il se tient à vos côtés et marche avec vous.
Surtout ne vous étonnez pas que Dieu vous fasse passer dans les vallées. Car ce n'est qu'ici que vous pouvez véritablement connaître le réconfort du Seigneur au milieu même des difficultés, et recevoir la meilleure nourriture spirituelle pour votre âme.
Du reste, apprenez que Dieu ne nous laisse pas dans les vallées. Il nous fait juste passer par là. Le temps que les plateaux soient redevenus de verts pâturages et que nous ayons eu suffisamment l'opportunité de nous rapprocher plus près de lui . De plus en sortant de là, vous serez aptes à pouvoir consoler, réconforter et encourager les autres dans les situations similaires. Gardez la foi!
Ta houlette et ton bâton me rassurent" (Ps 23:4).
Au verset premier de ce merveilleux psaume, David se considère comme la brebis de l’Éternel. Ainsi, l’Éternel est-il son berger, celui qui prend soin de lui, le garde et le guide.
Mais vous serez surpris d'apprendre que tout bon berger ne conduit pas toujours son troupeau sur les hauteurs des plateaux. Il le mène souvent dans les vallées. Or comme les vallées sont des endroits clos et mal éclairés, ils sont propices pour les attaques des prédateurs. De ce fait, passer dans une vallée c'est côtoyer de plus près le danger, la mort. D'où l'expression de David "la vallée de l'ombre de la mort".
Que représentent donc les vallées pour nous? Les temps et les saisons difficiles de notre vie, où nous sommes face à de grandes difficultés. La marche d'un enfant de Dieu n'est pas toujours agréable. Il y a des moments de grandes tentations et de frayeurs, des périodes de craintes et d'angoisses extrêmes. Et c'est Dieu lui-même qui le fait passer par là.
Toutefois, notez ce que dit David "Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi:Ta houlette et ton bâton me rassurent".
Dieu ne nous abandonne pas. Il est avec nous et sa présence nous réconforte. La houlette et le bâton dans la main du berger rassurent les brebis. Car ils ne servent pas seulement; la houlette à guider doucement sur un chemin étroit les brebis et à les ramener vers le berger; et le bâton à les discipliner ; mais également à les préserver du danger.
C'est pourquoi, si en ce moment même vous êtes conduit dans la vallée de l'ombre de la mort , croyez que Dieu est avec vous et ne vous abandonne pas. Il veille sur vous comme la prunelle de ses yeux. Il se tient à vos côtés et marche avec vous.
Surtout ne vous étonnez pas que Dieu vous fasse passer dans les vallées. Car ce n'est qu'ici que vous pouvez véritablement connaître le réconfort du Seigneur au milieu même des difficultés, et recevoir la meilleure nourriture spirituelle pour votre âme.
Du reste, apprenez que Dieu ne nous laisse pas dans les vallées. Il nous fait juste passer par là. Le temps que les plateaux soient redevenus de verts pâturages et que nous ayons eu suffisamment l'opportunité de nous rapprocher plus près de lui . De plus en sortant de là, vous serez aptes à pouvoir consoler, réconforter et encourager les autres dans les situations similaires. Gardez la foi!
samedi 26 novembre 2011
Prédestinés à être semblable à Christ
"Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être
semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né
entre plusieurs frères" (Rom 8:29).
Ce passage nous révèle notre destinée divine, ce que Dieu veut que nous devenions.
On peut remarquer qu'il n'est pas question de ce que nous sommes appelés à FAIRE pour Dieu, mais qu'il est plutôt question de ce que nous sommes appelés à ÊTRE pour Dieu.
L'ambition de Dieu pour nous n'est pas que nous fassions ceci ou cela; ou que nous obtenions ceci ou cela, mais que NOUS DEVENIONS TELS QUE SON FILS JÉSUS EST.
Nous devons être transformés à l'image de Christ de manière à refléter Sa sainteté, Son amour et Sa gloire au travers de nos personnes et de nos vies.
Tel est le but pour lequel Dieu nous a élus d'avance et l’œuvre qu'il cherche à accomplir en nous maintenant. Il veut restaurer en nous Sa nature divine qui a été altérée par le péché. Telle doit être l'aspiration de tout croyant : DEVENIR SEMBLABLE A CHRIST.
Est-ce-là ton ambition dans le Seigneur, bien-aimé(e)?
Il est bien dommage que les prédicateurs modernes n'insistent pas sur ce aspect de l’Évangile.
Évangile de la prospérité, Évangile du développement humain, théories de la croissance de l’Église, leadership de l’Église. Voici ce qui est dit et ressassé à longueur de journée dans nos assemblées. "Dieu veut que vous deveniez puissant et prospère..."
Pouvons-nous vraiment prétendre être en train de rechercher et d'accomplir le but de Dieu pour nos vies? Le Seigneur peut-il se réjouir de ce que nous sommes devenus?
Il est grand temps que nous regardions de plus près dans l’Écriture pour découvrir ce que Dieu veut et attend réellement de chacun nous!
Ce passage nous révèle notre destinée divine, ce que Dieu veut que nous devenions.
On peut remarquer qu'il n'est pas question de ce que nous sommes appelés à FAIRE pour Dieu, mais qu'il est plutôt question de ce que nous sommes appelés à ÊTRE pour Dieu.
L'ambition de Dieu pour nous n'est pas que nous fassions ceci ou cela; ou que nous obtenions ceci ou cela, mais que NOUS DEVENIONS TELS QUE SON FILS JÉSUS EST.
Nous devons être transformés à l'image de Christ de manière à refléter Sa sainteté, Son amour et Sa gloire au travers de nos personnes et de nos vies.
Tel est le but pour lequel Dieu nous a élus d'avance et l’œuvre qu'il cherche à accomplir en nous maintenant. Il veut restaurer en nous Sa nature divine qui a été altérée par le péché. Telle doit être l'aspiration de tout croyant : DEVENIR SEMBLABLE A CHRIST.
Est-ce-là ton ambition dans le Seigneur, bien-aimé(e)?
Il est bien dommage que les prédicateurs modernes n'insistent pas sur ce aspect de l’Évangile.
Évangile de la prospérité, Évangile du développement humain, théories de la croissance de l’Église, leadership de l’Église. Voici ce qui est dit et ressassé à longueur de journée dans nos assemblées. "Dieu veut que vous deveniez puissant et prospère..."
Pouvons-nous vraiment prétendre être en train de rechercher et d'accomplir le but de Dieu pour nos vies? Le Seigneur peut-il se réjouir de ce que nous sommes devenus?
Il est grand temps que nous regardions de plus près dans l’Écriture pour découvrir ce que Dieu veut et attend réellement de chacun nous!
vendredi 25 novembre 2011
Etre disciple Jésus
" Puis il dit à tous: Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à
lui-même, qu'il se charge chaque jour de sa croix, et qu'il me suive" (Luc 9:23).
Jésus a exigé trois choses pour devenir son disciple.
1-Renoncer à soi-même. C'est-à-dire à votre volonté propre ainsi qu'à votre amour propre. Vous devez vivre maintenant pour faire la volonté de Dieu et le servir. 2-Porter sa croix chaque jour. La croix est le symbole même de la souffrance et de la mort. Dans la Rome d'autrefois, un homme qui portait sa croix allait pour mourir. Ainsi, pour être disciple de Christ, vous devez être prêt à souffrir et à mourir. Parce que Satan et le monde vont vous persécuter (Jn 15:18-21). Aussi parce que Dieu va vous éprouver pour vous purifier, pour vous séparer du péché et du monde, pour vous éduquer et vous instruire, encore pour tester votre foi, votre amour pour lui et votre obéissance.
3-Le suivre. Cette condition signifie que vous devez marcher à la suite et dans les pas de Christ, dans le chemin étroit de la vérité, de la justice et de la sainteté dans lequel Lui-même a marché.
Enfin de compte, devenir disciple de Jésus c'est renoncer à votre propre personne et à votre propre vie pour aimer, servir et vivre pour Dieu. Ceci n'est pas une mince affaire.
Vous devez comprendre que la vie chrétienne n'est pas un jeu, un divertissement. Contrairement à ce que les gens disent aujourd'hui, Jésus n'a jamais présenté la vie chrétienne comme une vie de tout repos. Jésus a dit que nous devons porter chaque jour notre croix et le suivre. Mais quelqu'un qui porte sa croix chaque jour ne peut être en repos. N'est-ce-pas?
Je crois que s'il y a tant de défections, de pleurs, de murmures et de déceptions dans l’Église, c'est uniquement parce que nous n'avons pas bien compris l'appel de Dieu, les es exigences que cela comportait. Nous attendons à ce que Dieu n'a pas promis.
Quand vous avez répondu à l'appel de Christ, avez-vous compris que cette décision vous engageait à renoncer à votre propre vie, à souffrir, à obéir à Dieu, à marcher dans la voie de la vérité et de la justice?
Puisse la grâce du Seigneur nous fortifier?
Jésus a exigé trois choses pour devenir son disciple.
1-Renoncer à soi-même. C'est-à-dire à votre volonté propre ainsi qu'à votre amour propre. Vous devez vivre maintenant pour faire la volonté de Dieu et le servir. 2-Porter sa croix chaque jour. La croix est le symbole même de la souffrance et de la mort. Dans la Rome d'autrefois, un homme qui portait sa croix allait pour mourir. Ainsi, pour être disciple de Christ, vous devez être prêt à souffrir et à mourir. Parce que Satan et le monde vont vous persécuter (Jn 15:18-21). Aussi parce que Dieu va vous éprouver pour vous purifier, pour vous séparer du péché et du monde, pour vous éduquer et vous instruire, encore pour tester votre foi, votre amour pour lui et votre obéissance.
3-Le suivre. Cette condition signifie que vous devez marcher à la suite et dans les pas de Christ, dans le chemin étroit de la vérité, de la justice et de la sainteté dans lequel Lui-même a marché.
Enfin de compte, devenir disciple de Jésus c'est renoncer à votre propre personne et à votre propre vie pour aimer, servir et vivre pour Dieu. Ceci n'est pas une mince affaire.
Vous devez comprendre que la vie chrétienne n'est pas un jeu, un divertissement. Contrairement à ce que les gens disent aujourd'hui, Jésus n'a jamais présenté la vie chrétienne comme une vie de tout repos. Jésus a dit que nous devons porter chaque jour notre croix et le suivre. Mais quelqu'un qui porte sa croix chaque jour ne peut être en repos. N'est-ce-pas?
Je crois que s'il y a tant de défections, de pleurs, de murmures et de déceptions dans l’Église, c'est uniquement parce que nous n'avons pas bien compris l'appel de Dieu, les es exigences que cela comportait. Nous attendons à ce que Dieu n'a pas promis.
Quand vous avez répondu à l'appel de Christ, avez-vous compris que cette décision vous engageait à renoncer à votre propre vie, à souffrir, à obéir à Dieu, à marcher dans la voie de la vérité et de la justice?
Puisse la grâce du Seigneur nous fortifier?
jeudi 24 novembre 2011
Achevons les souffrances de Christ
"Je me réjouis maintenant dans mes souffrances pour vous; et ce qui
manque aux souffrances de Christ, je l'achève en ma chair, pour son
corps, qui est l’Église."(Col 1:24).
Ainsi, les souffrances de Christ, quoique uniques, profondes, inaccessibles, extrêmes, multidimensionnelles, inégalées ne sont pas achevées.
Elles doivent être complètées, mais par qui?
Paul nous parle ici de ses propres souffrances comme un couronnement de celles de Christ et comme une source de salut pour l’Église. Ses souffrances donc entraient dans le cadre de l’œuvre expiatoire du Christ.
N'y a-t-il que l'apôtre Paul seul qui était appelé à combler les souffrances de Christ? N'avons-nous pas nous aussi à souffrir pour le corps de Christ? Je crois que si.
En premier lieu, parce que Dieu nous a confiés une mission qui est d'apporter l'évangile à tous les hommes. Or l' Écriture l'affirme et l'histoire avec elle, que c'est au milieu de bien des combats et des souffrances que nous avons à accomplir cette mission.
En second lieu, parce que nous avons un devoir de solidarité envers les frères et les sœurs en la foi, avec qui nous formons un seul et même corps. La tête souffre avec la main, et les oreilles avec les pieds.
Voici donc, nous sommes appelés chacun pour sa part à achever en sa chair, bien plus en son cœur, les souffrances de Christ pour l’Église - par la prière d'intercession, la prédication de l'évangile, le témoignage, l'assistance destinées aux saints; en supportant les privations, les humiliations, les tribulations...Telle est notre vocation, notre ministère.
Que si quelqu'un parmi nous pensait à s'en soustraire, ne serait-il pas indigne d’être appelé disciple et serviteur du Seigneur? D'ailleurs en faisant cela, nous tirerions comme Paul, une grande joie d’œuvrer au salut de l’Église, qui est le corps de Christ.
Mes amis, parachevons les souffrances de Christ.
Ainsi, les souffrances de Christ, quoique uniques, profondes, inaccessibles, extrêmes, multidimensionnelles, inégalées ne sont pas achevées.
Elles doivent être complètées, mais par qui?
Paul nous parle ici de ses propres souffrances comme un couronnement de celles de Christ et comme une source de salut pour l’Église. Ses souffrances donc entraient dans le cadre de l’œuvre expiatoire du Christ.
N'y a-t-il que l'apôtre Paul seul qui était appelé à combler les souffrances de Christ? N'avons-nous pas nous aussi à souffrir pour le corps de Christ? Je crois que si.
En premier lieu, parce que Dieu nous a confiés une mission qui est d'apporter l'évangile à tous les hommes. Or l' Écriture l'affirme et l'histoire avec elle, que c'est au milieu de bien des combats et des souffrances que nous avons à accomplir cette mission.
En second lieu, parce que nous avons un devoir de solidarité envers les frères et les sœurs en la foi, avec qui nous formons un seul et même corps. La tête souffre avec la main, et les oreilles avec les pieds.
Voici donc, nous sommes appelés chacun pour sa part à achever en sa chair, bien plus en son cœur, les souffrances de Christ pour l’Église - par la prière d'intercession, la prédication de l'évangile, le témoignage, l'assistance destinées aux saints; en supportant les privations, les humiliations, les tribulations...Telle est notre vocation, notre ministère.
Que si quelqu'un parmi nous pensait à s'en soustraire, ne serait-il pas indigne d’être appelé disciple et serviteur du Seigneur? D'ailleurs en faisant cela, nous tirerions comme Paul, une grande joie d’œuvrer au salut de l’Église, qui est le corps de Christ.
Mes amis, parachevons les souffrances de Christ.
mercredi 23 novembre 2011
Heureux les pauvres en esprit
" Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux!" (Math 5:3).
L'héritage qui est promis à ceux qui sont pauvres en esprit est le royaume des cieux. Ils partageront le règne de Dieu et sa gloire d'éternité en éternité.
Ainsi, si nous voulons avoir le royaume des cieux en héritage, nous devons être pauvres en esprit.
Allons-y comprendre ce que signifie cette expression " pauvre en esprit".
Sans doute, l'esprit dont il est question ici ne peut pas être celui de Dieu. Car la Bible, elle-même nous exhorte à être rempli de l'Esprit de Dieu (Eph 5:18). Il ne peut pas non plus s'agir de l'esprit de Satan. Nous sommes exhortés à en être totalement délivrés et non pas en être pauvres (Eph 2:1).
Si donc nous avons à être pauvres en esprit, ce ne peut être qu'en notre propre esprit.
Voici de quelle façon le même verset biblique a été rendu dans la version Français Courant:
"Heureux ceux qui se savent pauvres en eux-mêmes, car le Royaume des cieux est à eux !" .
La pauvreté en esprit est ainsi l'état d'une personne qui est dépouillée d'elle-même, vidée de son "Moi orgueilleux", qui est pénétrée du sentiment de sa propre faiblesse et de son impuissance, qui sent qu'elle n'a aucun mérite, ni rien de bon en elle - et qui éprouve un profond besoin de la grâce de Dieu.
Une telle personne sait que sans la grâce de Dieu, elle n'est rien et ne peut rien faire. Ainsi, marchant dans un esprit de contrition et de repentante, elle vit en se confiant dans la grâce divine.
Il n'y a que tels gens qui peuvent connaître la plénitude et la joie de Dieu.
" Car ainsi parle le Très-Haut, Dont la demeure est éternelle et dont le nom est saint:
J'habite dans les lieux élevés et dans la sainteté; Mais je suis avec l'homme contrit et humilié,
Afin de ranimer les esprits humiliés, Afin de ranimer les cœurs contrits" (Es 57:15).
Être pauvre en esprit, c'est le secret du bonheur!
mardi 22 novembre 2011
Comment la vie de Christ est manifestée en nous?
"Portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps" (2 Cor 4:10).
Il y a un fait qui demeure vrai, c'est que la vie de Christ ne peut être manifestée en vous si sa mort n'est pas manifestée en vous. Vous devez mourir avec Christ, si vous voulez jouir de sa vie.
La seule raison qui puisse expliquer pourquoi la vie surnaturelle de Christ n'est pas manifestée chez tant de gens qui se nomment "chrétiens", qui disent être nés de nouveau, c'est qu'ils ne sont jamais vraiment morts avec Christ.
Nul ne peut connaître la vie de Jésus, avant d'avoir connu sa mort.
Cher lecteur, vous ne pouvez pas connaître la joie de Christ avant d'avoir connu sa tristesse; ni recevoir sa consolation avant d'avoir reçu sa douleur. Il est vrai que vous ne jouirez jamais de la paix de Christ, si vous ne portez pas son angoisse.
Tant que vous restez attaché à vous même, agrippé à vos aises et à vos conforts; tant que vous courez après votre bonheur propre en rejetant l'humiliation et la souffrance de Christ, vous êtes privé de sa vie spirituelle. Aussi longtemps, que vous trouverez la prière difficile, que vous trouverez cela pénible de jeûner, que vous ménagerez vos efforts pour servir le Seigneur, que vous vous garderez soigneusement de toute peine pour Christ, vous n'êtes pas prêts de connaître Sa vie.
C'est ici le grand mystère! C'est que la vie divine nous a été manifestée par la mort de Christ. Ainsi, c'est quand nous acceptons que la mort du Seigneur soit manifestée en nous que sa vie est répandue en nous.
Oh , Seigneur Jésus, mon Sauveur, que Ta mort soi manifestée pleinement en moi, afin que Ta vie soit aussi pleinement manifestée en moi!
Il y a un fait qui demeure vrai, c'est que la vie de Christ ne peut être manifestée en vous si sa mort n'est pas manifestée en vous. Vous devez mourir avec Christ, si vous voulez jouir de sa vie.
La seule raison qui puisse expliquer pourquoi la vie surnaturelle de Christ n'est pas manifestée chez tant de gens qui se nomment "chrétiens", qui disent être nés de nouveau, c'est qu'ils ne sont jamais vraiment morts avec Christ.
Nul ne peut connaître la vie de Jésus, avant d'avoir connu sa mort.
Cher lecteur, vous ne pouvez pas connaître la joie de Christ avant d'avoir connu sa tristesse; ni recevoir sa consolation avant d'avoir reçu sa douleur. Il est vrai que vous ne jouirez jamais de la paix de Christ, si vous ne portez pas son angoisse.
Tant que vous restez attaché à vous même, agrippé à vos aises et à vos conforts; tant que vous courez après votre bonheur propre en rejetant l'humiliation et la souffrance de Christ, vous êtes privé de sa vie spirituelle. Aussi longtemps, que vous trouverez la prière difficile, que vous trouverez cela pénible de jeûner, que vous ménagerez vos efforts pour servir le Seigneur, que vous vous garderez soigneusement de toute peine pour Christ, vous n'êtes pas prêts de connaître Sa vie.
C'est ici le grand mystère! C'est que la vie divine nous a été manifestée par la mort de Christ. Ainsi, c'est quand nous acceptons que la mort du Seigneur soit manifestée en nous que sa vie est répandue en nous.
Oh , Seigneur Jésus, mon Sauveur, que Ta mort soi manifestée pleinement en moi, afin que Ta vie soit aussi pleinement manifestée en moi!
lundi 21 novembre 2011
Passionné de Christ
"Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de
l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour
lequel j'ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue, afin de
gagner Christ" (Phil 3:8).
Comment pouvons-nous qualifier cette attitude de l'apôtre Paul? La passion.
Paul était passionné de Christ. Son amour pour Christ était profond et son désir de le posséder était consumant. Toute sa vie était motivée par un seul but: gagner Christ. Pour Paul, la connaissance de Christ était la chose excellente; les autres choses, vous pouvez les nommer, ne représentaient que de la boue.
On peut se demander qu'est-ce-que Christ avait de si particulier, pour que Paul consente à tout sacrifier pour le connaître?
La réponse à cette question est évidente. Avez-vous trouvé dans ce monde une chose qui vaille plus que la connaissance de Christ?
Après maintes expériences déçues , j'ai pu me rendre compte que tout ce que le siècle présent nous offre - enfin de compte - n'est que tristesse et déception. Le monde ne peut ni nous procurer la vie, ni nous combler de bonheur. Mais pis encore, c'est que tout ce qu'il nous offre un jour ou l'autre, on finit par tout perdre. La santé se dégrade, la beauté flétrit, la force s'épuise, la joie se change en tristesse,les richesses se volatilisent, les amis s'éloignent, les hommes meurent. Et qu'est-ce-qui nous reste en définitive: des vagues souvenirs, un arrière-goût amer de la vie, le néant?
Ceci étant, est-ce une folie de considérer les choses de la vie présentes comme de la boue? Ne convient-il pas que vous renonciez à tout pour gagner Christ?
Car voici, le monde passe, avec ses joies, ses richesses et ses honneurs; mais Christ lui demeure éternellement. Quand vous avez tout perdu, il vous reste toujours une chose, CHRIST. En Lui, nous avons la vie, la joie, la paix, la gloire, la puissance, l'autorité...en abondance et pour toujours.
Oh mes amis, connaissons Christ! Comme Paul, faisons de Lui notre passion et acceptons de tout perdre pour Le posséder pleinement.
Comment pouvons-nous qualifier cette attitude de l'apôtre Paul? La passion.
Paul était passionné de Christ. Son amour pour Christ était profond et son désir de le posséder était consumant. Toute sa vie était motivée par un seul but: gagner Christ. Pour Paul, la connaissance de Christ était la chose excellente; les autres choses, vous pouvez les nommer, ne représentaient que de la boue.
On peut se demander qu'est-ce-que Christ avait de si particulier, pour que Paul consente à tout sacrifier pour le connaître?
La réponse à cette question est évidente. Avez-vous trouvé dans ce monde une chose qui vaille plus que la connaissance de Christ?
Après maintes expériences déçues , j'ai pu me rendre compte que tout ce que le siècle présent nous offre - enfin de compte - n'est que tristesse et déception. Le monde ne peut ni nous procurer la vie, ni nous combler de bonheur. Mais pis encore, c'est que tout ce qu'il nous offre un jour ou l'autre, on finit par tout perdre. La santé se dégrade, la beauté flétrit, la force s'épuise, la joie se change en tristesse,les richesses se volatilisent, les amis s'éloignent, les hommes meurent. Et qu'est-ce-qui nous reste en définitive: des vagues souvenirs, un arrière-goût amer de la vie, le néant?
Ceci étant, est-ce une folie de considérer les choses de la vie présentes comme de la boue? Ne convient-il pas que vous renonciez à tout pour gagner Christ?
Car voici, le monde passe, avec ses joies, ses richesses et ses honneurs; mais Christ lui demeure éternellement. Quand vous avez tout perdu, il vous reste toujours une chose, CHRIST. En Lui, nous avons la vie, la joie, la paix, la gloire, la puissance, l'autorité...en abondance et pour toujours.
Oh mes amis, connaissons Christ! Comme Paul, faisons de Lui notre passion et acceptons de tout perdre pour Le posséder pleinement.
samedi 19 novembre 2011
Marchez par la foi
" Car nous marchons par la foi et non par la vue" (2 Cor 4:7).
Nous tous, qui avons répondu à l'appel du Seigneur Jésus et qui le suivons dans la voie qu'il a tracée pour nous, sommes appelés à marcher par la foi et non par la vue.
En vérité, la marche chrétienne est une marche par la foi et non par la vue; car il y a une énorme différence entre le fait de marcher par la foi et celui de marcher par la vue.
Notez ceci! L'homme qui marche par la vue est conduit par ses sens charnels. Il regarde à l'apparence, à ce qui frappe aux yeux. Il ne considère que ce qui est visible et n'a d'égard qu'à la réalité présente. Il apprécie, juge, se décide et s'oriente en se basant uniquement sur ce qui est. Il a de ce fait une vision très limitée des choses, laquelle est du reste terrestre (concentrée dans les choses matérielles) et temporelle (limitée dans le temps).
Prenons un exemple pour illustrer tout ceci.
Au
moment de leur séparation,, Abraham demanda à son neveu de choisir un
lieu où partir. Levant les yeux vers l'orient, Lot vit tout le pays de
la plaine du Jourdain qui était "comme un jardin de l’Éternel". Il
choisit de s'y aventurer. Voyez-vous, Lot marchait par la vue, il était
conduit par la chair.
Il n'en est pas ainsi d'Abraham qui marchait par la foi, étant appuyé sur la promesse de Dieu.
1-L'homme qui marche par la foi marche en se fiant à
Dieu et à Sa Parole, et non pas en s'appuyant sur la sagesse humaine et ses
sens charnels. Comme un enfant, il vit dans la dépendance de Dieu.
2- L'homme qui marche par la foi marche dans l'attente ou dans l’espérance continuelle
des promesses de Dieu et des choses à venir. "Or la foi est ferme
assurance des choses qu'on espère" (Heb 11:1). Il s'attend toujours à Dieu.
3-L'homme qui marche par la foi a une vision spirituelle, céleste et éternelle des choses. Il regarde aux choses qui sont invisibles, spirituelles et éternelles et non pas à celles qui sont visibles, charnelles et temporelles (Heb 11:13-15). Alors que la vision de l'homme qui marche par la vue s'arrête à la mort; celle de
celui qui marche par la foi va au-delà de la tombe; Car il est conduit
par l'Esprit de Dieu et non par la chair.
Ainsi marcher par la foi et non par la vue, consiste à persévérer jour après jour, dans une attitude de totale confiance en Dieu et d'attente de ses promesses terrestres comme célestes.
Une personne qui marche par la foi vit dans une attitude dépendance à Dieu et dans la vision des choses à venir.
lundi 14 novembre 2011
Ne vous inquiétez de rien
"Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée
à la durée de sa vie?" (Math 6:27).
La question que le Seigneur nous pose ici est poignante; et elle nous interpelle sérieusement.
Réfléchissez! Vos inquiétudes vous ont-elles jamais aidé à résoudre vos problèmes? Loin de là!
La vérité, c'est que les soucis dégradent notre état physique et affectent notre santé mentale ( Prov 15:13). Pis encore, ils empêchent la Parole de Dieu de prospérer dans nos cœurs et de produire du fruit pour Dieu (Math 13:22).
Voici un fait, c'est que quand vous faites du souci, vous ruinez votre état physique et mental et nuisez à votre âme.
C'est pourquoi cette parole du Seigneur doit vous interpeller profondément.
"Qui de nous, en effet, par ses inquiétudes, peut-il ajouter une coudée
à la durée de sa vie?".
Nous pouvons en tirer l'instruction suivante. C'est que nos inqiétudes ne nous donnent pas la capacité de changer quoi que ce soit à notre situation. Si nous n'avons pas même le pouvoir d'ajouter une coudée à la durée de notre vie; à plus forte raison pouvons-nous rien changer à notre situation par nos inquiétudes?
Aussi conscient de ce fait, nous devons en toute chose et en tout temps nous confier en Dieu pour tous nos besoins.
dimanche 13 novembre 2011
Es-tu sûr d'être sauvé?
Es-tu sûr(e) d'être sauvé(e)? Possèdes-tu l'assurance de ton salut?
Cher lecteur, chère lectrice, je t'invite en ce jour à réfléchir, à méditer sur la question essentielle du salut.
J'ai observé que dans nos églises, on ne parle plus beaucoup du salut. Et en échangeant avec des frères dans la foi sur le sujet, je me suis aperçu que très peu avait l'assurance de leur salut. La grande majorité était dans le doute, convaincue que Dieu seul sait qui est sauvé ou ne l'est pas. Ainsi, en attendant de passer de ce monde à l'autre monde pour être définitivement situer, plusieurs vivent dans l'incertitude.
Et pourtant la parole de Dieu est très affirmative en ce qui concerne l'assurance de notre salut. Elle ne nous laisse pas dans le doute et dans les vaines spéculations.
Non seulement, la Bible affirme que tous ceux qui croient en Christ, qui sont nés de nouveau sont sauvés. Mais, elle nous donne encore l'assurance de notre salut.
Cette assurance est basée sur les éléments suivants:
1- Le témoignage des Saintes Écritures.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3:16).
"Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie.Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu" (1 Jean 5:12-13).
2-La présence et le témoignage du Saint-Esprit en nous.
"En lui vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Évangile de votre salut, en lui vous avez cru et vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis, lequel est un gage de notre héritage, pour la rédemption de ceux que Dieu s'est acquis, à la louange de sa gloire" (ph 1:13-14).
"Car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba! Père!L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu" (Rom 8:14-16).
3-Le fruit que vous porter.
"Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez" (Math 7:17-20) .
"Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu. C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère" (1Jean 3:9-10).
A partir de ces éléments, vous pouvez être sûr de posséder ou non votre salut.
Cher lecteur, chère lectrice, je t'invite en ce jour à réfléchir, à méditer sur la question essentielle du salut.
J'ai observé que dans nos églises, on ne parle plus beaucoup du salut. Et en échangeant avec des frères dans la foi sur le sujet, je me suis aperçu que très peu avait l'assurance de leur salut. La grande majorité était dans le doute, convaincue que Dieu seul sait qui est sauvé ou ne l'est pas. Ainsi, en attendant de passer de ce monde à l'autre monde pour être définitivement situer, plusieurs vivent dans l'incertitude.
Et pourtant la parole de Dieu est très affirmative en ce qui concerne l'assurance de notre salut. Elle ne nous laisse pas dans le doute et dans les vaines spéculations.
Non seulement, la Bible affirme que tous ceux qui croient en Christ, qui sont nés de nouveau sont sauvés. Mais, elle nous donne encore l'assurance de notre salut.
Cette assurance est basée sur les éléments suivants:
1- Le témoignage des Saintes Écritures.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle" (Jean 3:16).
"Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie.Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu" (1 Jean 5:12-13).
2-La présence et le témoignage du Saint-Esprit en nous.
"En lui vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Évangile de votre salut, en lui vous avez cru et vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis, lequel est un gage de notre héritage, pour la rédemption de ceux que Dieu s'est acquis, à la louange de sa gloire" (ph 1:13-14).
"Car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba! Père!L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu" (Rom 8:14-16).
3-Le fruit que vous porter.
"Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez" (Math 7:17-20) .
"Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu. C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère" (1Jean 3:9-10).
A partir de ces éléments, vous pouvez être sûr de posséder ou non votre salut.
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